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    En images : Mont-Sainte-Anne, 24 janvier 2025

    Le ciel bleu, le soleil et la température plus douce étaient au rendez-vous en ce vendredi de janvier au Mont-Sainte-Anne. La station de la région de Québec était peu occupée malgré des conditions gagnantes pour aller skier. L’attente aux remontées était nulle partout sur la montagne. Tous les versants affichaient ouvert, y compris le versant ouest, qui toutefois était sans remontée mécanique.

    Avec l’âge et la forme, on se trouve des trucs afin d’économiser l’énergie. Le mien, c’est d’éviter la longue marche vers la télécabine en prenant le tapis magique pour glisser du haut de la piste école vers la droite et skier la bas de la Gros-Vallon jusqu’à la remontée. On sera d’accord, marcher dans la neige avec des bottes de ski n’est pas facile.

    J’accompagnais des amis, dont une amie de longue date qui en était à sa deuxième année de ski. Nous avons skié la Ferréolaise qui était dans une condition parfaite pour l’apprentissage et nous y avons fait trois descentes. Le prochain défi de mon amie, skier la Familiale. Défi relevé!!!

    J’ai complété ma courte visite en prenant le quadruple du sud pour skier pour la première fois le passage qui mène jusqu’à la Gros-Vallon et jusqu’au Panorama Express. Mes amis appellent ce passage « le chemin Roxham »… Je ne sais pas si c’est le nom que les gens utilisent, mais une fois au sommet du Panorama Express, nous avons poussé à grands coups de bâtons vers La Crête en prenant la piste que j’appelle « La Alex Harvey ».

    La vue du sommet est toujours aussi belle. La piste avait été damée selon le rapport de la station, mais le fond dur était proche. J’étais content d’avoir des skis bien préparés qui accrochent sur cette surface. J’ai terminé ma courte visite en prenant La Pichard. Mes vielles guiboles en avaient assez. C’est fou ce qu’une année sans skier est dure sur la forme!

    Vivement de la neige maintenant! Bon ski!

    En images: Sommet Olympia, 24 janvier

    Tout le monde veut savoir: “Pis, le ski à Sommet Olympia?” Maintenant, tout le monde le sait: “Très bon!” Il est vrai que les Cantons de l’Est ont été choyés depuis deux semaines, mais il serait malhonnête de prétendre que la Vallée de St-Sauveur souffre d’un manque de neige. Certes l’abondance en tant que tel ne s’est pas encore matérialisée, cependant l’état des pistes est très bon. La glisse est agréable et rapide.

    Les sous-bois ne sont pas tous ouverts. Et pour cause! La couverture neigeuse demeure mince en dehors des pistes à enneigement fabriqué. Pour ma part, je préfère attendre encore avant de me risquer hors des pistes damées.

    Même les pistes de niveau intermédiaire offrent des surfaces rapides et devenant très fermes en cours de journée. Le sempiternel conseil des skieurs expérimentés demeure vrai: pour profiter des meilleures conditions, skier tôt en matinée sur des skis bien affûtés est un atout de taille. Il n’y a pas de glace à proprement parler (en soirée, est-ce la même chose?).

    Bon nombre de familles sont présentes à la station. C’est une journée pédagogique dans la région. Le temps, bien que relativement froid à l’ouverture mais se réchauffant rapidement, est sublime! Il s’agit d’une de ces journées de ski dont on se rappelle longtemps: beau, sec et sans vent (maximum 10 km/h).

    L’offre immobilière est croissante tout autour du domaine skiable. En bordure de la piste Mont de Marsan, dans l’Aiguille, plusieurs bâtiments sont en construction.

    Patients et probablement confortables au soleil, les “coachs” attendent leur cohorte de jeunes coureurs dans la St-Moritz. La piste devient de plus en plus ferme, la vitesse et l’audace des jeunes semble augmenter proportionnellement!

    Dans la partie supérieure de la Zermatt, le “carving” se fait avec vigueur sinon les dérapages se multiplient. Encore une fois, pas de glace visible. Une poudreuse granuleuse recouvre le tout. En conclusion, le ski est de bonne qualité et le temps est très favorable à la pratique de notre sport. Il n’y a aucune raison d’attendre davantage avant de mettre le cap sur Sommet Olympia.

    EXPRESS SKI, billets de ski à prix avantageux – Tremblant, Sutton, Jay Peak, Whiteface, Smuggler’s Notch

    EXPRESS SKI

    Billets de ski à date déterminée pour Tremblant, Sutton, Jay Peak, Whiteface et Smuggler’s Notch.

    • INCLUSION :

    1 billet de remontée par personne (produit non taxable)

    EXEMPLE : (plusieurs autres dates)

    Jay Peak – Dimanche 26 janvier 2025

    Adulte 19 ans+ :  89$ – Enfant 7-18 ans:     75$

    Mont Sutton – Dimanche 16 février 2025*

    Adulte 18-69 ans :  85$ – Sénior 65 ans + :    65$ – Ado 14-17 ans : 65$ – Enfant 6-13 ans:     49$

    • *Tarifs plus bas pour les 25 premiers inscrits

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    POUR RÉCUPÉRER LES BILLETS

    L’achat en ligne est nécessaire sur le site de ExpressSki (suivre le lien plus bas)

    Une confirmation d’achat vous sera envoyée par courriel et vous devrez la présenter au représentant Express Tours à la station de ski concernée.

    Achat directement sur place non-disponible
    Vous devez obligatoirement réserver et payer vos billets sur expresstours.ca au préalable. Aucun billet ne pourront être acheté sur place.  

    Le représentant Express Tours (bien identifié) sera présent pour vous accueillir et vous remettre les billets de remontée correspondant à votre preuve d’achat. Vous devrez présenter une pièce d’identité par personne en échange d’un billet de remontée.

    Les billets non réclamés dans les heures prévues seront retournées à la station et donc non récupérables.


    POUR VOIR PLUS DE DÉTAILS ET PROFITER DE CE RABAIS, SUIVRE CE LIEN :

    EXPRESSTOURS.CA/SKI

    Gestion de demande de puissance: ça mange quoi en hiver?

    La vague de grand froid que nous vivons au Québec au moment de publier ce texte nous plonge dans des températures typiquement hivernales. Sans tomber dans le sensationnalisme des chiffres martelés par les détracteurs de l’hiver, disons que le terme « frette » est quand même approprié! Ces températures très froides provoquent un stress supplémentaire non seulement sur les humains exposés au froid, mais aussi sur toutes les infrastructures, allant des moteurs de nos voitures jusqu’aux routes et ponts, en passant par les immeubles et les systèmes de transport en commun.

    Les stations de ski n’y font pas exception et même si les remontées mécaniques, les chalets et les canons à neige sont conçus pour résister aux intempéries, la demande énergétique pour en assurer le fonctionnement bondit lors des grands froids. C’est la raison pour laquelle Hydro-Québec a mis en place l’option de gestion de demande de puissance (GDP), qui a son équivalent pour les clients résidentiels, l’option de crédit hivernal.

    Le fonctionnement est très similaire pour les deux options: si les entreprises ou clients résidentiels participants réduisent leur consommation d’énergie dans les plages horaires définies par Hydro-Québec, entre le 1er décembre et le 31 mars, ils obtiennent un crédit à la fin de l’hiver. Pour la clientèle Affaires, dont les stations de ski, les périodes de pointe pour lesquelles une réduction de la demande est souhaitée ne peuvent survenir qu’en semaine, contrairement à la clientèle résidentielle. Hydro-Québec envoie une notification indiquant les plages horaires visées (de 6 h à 9 h le matin, et de 16 h à 20 h en soirée). Si une station de ski choisit de ne pas réduire sa demande lors d’une période de pointe, elle ne sera pas pénalisée dans ses tarifs: elle n’obtiendra simplement pas de crédit pour cette période spécifique.

    Pour la plupart des stations, la gestion de demande de puissance signifie un démarrage tardif des remontées mécaniques, ou l’arrêt momentané de la production de neige. Ces deux opérations sont particulièrement énergivores et les crédits obtenus en fin de saison permettent aux stations participantes d’investir en amélioration des infrastructures. Bromont, montagne d’expériences (BME), a d’ailleurs mis en ligne un billet de blogue fort instructif sur les raisons motivant leurs choix. Evelyne Déry, conseillère marketing et communications pour BME, ajoute: «  Il est bien sûr avantageux pour nous de participer. Si toutefois nous décidons de ne pas participer à un événement de pointe, c’est uniquement pour des raisons d’expérience client et dans le but de garantir un minimum de service aux skieurs. »

    Même son de cloche du côté du Mont Orford, pour qui la participation à cette option coule de source et s’inscrit dans leur désir de modifier les habitudes de consommation. Cette décision est parfois difficile à prendre pour les stations, surtout lors des saisons moins généreuses en neige naturelle, puisque les grands froids sont souvent les meilleures périodes pour la production de neige. Valérie Collette, directrice marketing et communications pour la station, précise que le choix se fait quand même afin de moins affecter la clientèle présente : « Dans la plupart des cas où nous répondons, nous réduisons significativement, voire mettons à l’arrêt complet la fabrication de neige pendant la période demandée ».

    Comme les équipements de la clientèle Affaires d’Hydro-Québec sont souvent plus énergivores que ceux présents dans une maison résidentielle, l’option de gestion de demande de puissance comporte un volet additionnel, relatif justement à la puissance de chaque appareillage impliqué. Maxence Huard-Lefebvre, chef média et planification des communications pour Hydro-Québec, nous explique: « Quand un client enregistre une pointe de consommation, il sera facturé en fonction de celle-ci sur la période. Cette composante « puissance » est essentielle, car les équipements des clients requièrent que le réseau électrique soit adapté. Plus les équipements sont puissants, plus ils mettent une pression sur le réseau d’Hydro-Québec et engendrent des coûts. » C’est donc à la fois sur la base de la puissance (mesurée en kW) et de la consommation (kWh) que les crédits sont calculés: plus la demande énergétique est faible, plus importants seront les crédits obtenus.

    Selon Isabelle Vallée, cheffe communications et relations publiques au Massif de Charlevoix, la participation à l’option de gestion de demande de puissance mérite une réflexion plus large sur les implications de tous les départements, de même que de la clientèle. Les discussions sont fréquentes à ce sujet afin de trouver des pistes permettant à tous d’y trouver leur compte. « On va toujours chercher à affecter le moins possible les opérations tout en réduisant notre demande sur le réseau d’Hydro-Québec. La meilleure pratique serait d’ouvrir la station après la fin de la période de pointe du matin, ce qui impliquerait de modifier les horaires, d’où la nécessité de le faire en communiquant adéquatement avec la clientèle. » indique-t-elle.

    La participation collective à une demande de gestion de puissance d’Hydro-Québec contribue à réduire la demande parfois trop forte pour la capacité du réseau de distribution, en plus de bénéficier aux stations qui y collaborent. Par exemple, pour une station comme le Massif de Charlevoix ou Bromont, montagne d’expériences, les économies réalisées en une saison de ski peuvent dépasser les 30 000$, ce qui n’est pas négligeable lorsqu’on sait que les tarifs sont beaucoup plus élevés pour la clientèle Affaires. En outre, retarder d’une demi-heure ou d’une heure l’ouverture d’une remontée mécanique permet à la clientèle d’éviter la période généralement plus froide en matinée et de commencer son ski alors que les températures sont un peu moins mordantes… c’est donc une solution payante de tous les côtés!

    En images: Mont Rigaud, 20 janvier

    Est-ce froid ce matin? N…oui. Pour l’ado qui est arrivée en jeans à la location, fort probablement qu’il fait froid. Pour les autres visiteurs qui ont pris la peine de porter les bons vêtements, c’est tout à fait confortable. Surtout durant les remontées, alors que le léger vent souffle par derrière et que le soleil nous réchauffe par devant. Mine de rien, les journées allongent et le soleil monte. Pendant que les ombres au sol raccourcissent!

    Encore une fois, et défiant les averses de pluie du weekend, Mont Rigaud nous offre des conditions parfaites. Un des avantages de pouvoir fréquenter la station en semaine c’est le très faible achalandage. Cela se traduit par un maximum de descentes dans des conditions qui demeurent excellentes tout au long de la journée. De plus, en semaine le billet journalier est offert au prix du bloc de 4 heures. Ainsi, aller prendre des pauses ne procure plus le sentiment de perdre du temps sur un billet à durée limitée.

    M’étant laissé intimider un bref moment par Madame Météo à la radio, j’étire mon café du matin. Naïf, va! Aucune raison de retarder le départ puisque je sais que le ski sera parfait à Rigaud. Froid polaire, extrême, glacial… Mon oeil! On voit qu’elle n’a jamais mis les pieds aux Pôles!

    La piste la moins achalandée du jour est La Falaise. Juste aux pieds des parois d’escalade, et longeant une forêt d’énormes conifères, la piste est un des petits bijoux de Mont Rigaud. Étroite, sinueuse et tout juste assez pentue pour se mériter un losange noir, elle vaut les quelques poussées de bras nécessaires pour y accéder. La randonnée alpine, quant à elle, est encore remise aux calendes grecques.

    La nouvelle Poma Express n’est pas en opération en semaine. Par contre, ses sièges immobiles ajoutent une touche colorée au paysage. La piste qui se déroule à ses pieds, l’Express, est une experte à l’inclinaison soutenue en plein dans la ligne de pente. À mi-parcours, un faux plat permet de faire une pause et d’apprécier la Vallée de l’Outaouais et les Laurentides au loin.

    Malgré une journée pédagogique pour plusieurs élèves de la région, le parc à neige est déserté. Tout y est parfaitement installé. Euh, non, je ne suis pas monté sur le “rail”…

    Celui-là, on l’aime! Entre l’odeur du bacon à la cafétéria et le parfum du feu de bois, l’intense chaleur du foyer prolonge ma pause quelques minutes de plus que ce que j’avais prévu. Le positionnement des portes d’accès fait qu’aucun courant d’air froid ne parcourt la cafétéria. De plus, un système de chauffage radiant au plafond procure toute le confort requis si on n’est pas assis à côté du feu de bois. Et hop, on repart pour une descente!

    En images : Mont SUTTON, 19 janvier 2025

    La majorité du sud du St-Laurent a malheureusement goûté à une petite douche hier dans la journée mais l’altitude de la montagne a heureusement gardé le point de congélation à sa base. Ajoutons à cela les 150cm reçus dans les 2 dernières semaines qui ont servi à créer une base parmi les meilleures au Québec en ce moment, les prochains jours s’annoncent prometteurs pour la montagne. La petite journée grise d’aujourd’hui n’annonçait rien de particulier mais a été généreuse avec les braves présents.

    Tous les sous-bois sont ouverts et bénéficient d’une excellente couverture, nous offrant une montagne ouverte à 100%: pas gênant du tout. Les sous-bois du secteur IV sont parmi mes préférés et avec le plus de neige généralement, aujourd’hui ne faisait pas exception.

    L’achalandage étant presque nul, aucune attente aux chaises à partir de l’heure du diner, ce qui nous a permis de profiter au maximum de la journée, alors que nous avons abusé des beaux sous-bois et des bords de pistes absolument vierges de traces.

    Le fameux test du bâton ne ment jamais. Pour comparatif, mes bâtons sont de 125 cm de longeur.

    La stade de Slalom, fermée toute la journée pour des pratiques de l’équipe, nous a réservé une petite surprise en fin de journée avec de la belle neige folle partout autour du parcours, et laissez-moi vous dire qu’il s’est très certainement accumulé un bon 10 à 15 cm par endroits sur la montagne, avec la neige qui tombait en continu pendant la journée.

    La journée démo aujourd’hui à la montagne pouvait difficilement mieux tomber. Avec Élan, Atomik et d’autres marques en démonstration, c’était définitivement une journée sous le signe de l’hiver à une station qui a été choyée depuis le redoux de janvier. Avec le léger redoux de la veille, attention à la base glacée sous cette belle neige, elle peut parfois être trompeuse mais un bon travail des pistes ce soir et cette nuit donnera des conditions incroyables demain, surtout si le soleil peut se pointer le bout du nez. On en a bien besoin, de cette petite vitamine soleil justement ces temps-ci.

    En images: Val Saint-Côme, 19 janvier 2025

    Sous-bois « Les cèdres ».

    Les derniers jours ont grandement favorisé les stations au nord de Montréal côté météo et chutes de neige. Profiter de cette neige nouvelle pesait donc lourd dans la balance pour ma destination aujourd’hui!

    La station a reçu depuis 24h une dizaine de centimètres de neige, ce qui a permis l’ouverture de quelques sous-bois mais malheureusement, la base naturelle est très mince et fait tout au plus une trentaine de centimètres, tel que le démontre le « test très scientifique du bâton de 135cm ».

    Épaisseur de la base naturelle dans le sous-bois « les cèdres ».

    Le résultat est que certains sous-bois sont certes ouverts mais gare aux très nombreux obstacles comme des roches, souches, etc. La station n’a malheureusement pas non-plus débroussaillé les sous-bois du versant du mille pieds. Les meilleures conditions dans les sous-bois se retrouvaient de loin dans ceux orientés nord-est, comme les Cèdres et les Épinettes.

    Sous-bois 342.
    Sous-bois 342.

    Le meilleur ski était de loin dans les pistes damées et enneigées mécaniquement où l’on pouvait y aller d’un carving des plus agressif grâce à cette neige nouvelle mélangée à la base déjà accumulée, le tout compacté par une nuit à -15 degrés.

    Éric dans la piste Cascades.

    Piste Geneviève Simard.

    Le ski n’a heureusement pas d’âge et nous avons rencontré aujourd’hui M. Connor, âgé de 85 ans, qui avait déjà plus d’une dizaine de sorties à son actif cette saison et qui a découvert ce sport après sa retraite, soit à l’âge de 66 ans!

    M. Connor dans l’Autoroute.

    L’enneigement est complété pour la saison et plusieurs pistes devraient ouvrir dans les prochains jours, dès que cette neige aura été nivelée par les dameuses.

    Enneigement dans la piste Avalanche.

    Seul point négatif de l’enneigement encore cette année: le haut de l’Avalanche, alias « le pitch », n’a pas été enneigé mécaniquement et en plus, les canons y ont été retirés.

    La météo des prochains jours sera froide donc habillez-vous chaudement mais les conditions de damé devraient se maintenir en excellent état grâce à ces températures!

    Bon ski!

    En images: Mont Orignal, 18 janvier 2025

    C’est un beau samedi doux (et achalandé!) au Mont-Original. Avec les chutes de neige des deux dernières semaines, les conditions de glisse sont excellentes : c’est doux sous la spatule et on a beaucoup de plaisir à faire des virages sans effort. Des jeunes se mesuraient au chronomètre dans le cadre d’une compétition locale.

    Un grand nombre de moniteurs donnant des cours individuels étaient actifs dans la piste 5, la plus familiale de la station. La pente-école, très longue, large, et desservie par un poma, était populaire non seulement auprès de jeunes débutants, mais aussi d’adultes qui en étaient à leurs premières descentes. Malheureusement, le poma a connu des problèmes mécaniques et a dû être arrêté en mi-journée.

    Ces jours-ci, les pistes du Mont-Orignal sont belles à voir et offrent un magnifique point de vue enneigé sur la campagne environnante.

    C’était aujourd’hui la journée Gilles Audet, organisée en collaboration avec l’ARLPH, visant à faire découvrir le ski alpin adapté grâce à des séances de tandem ski et parasnowboard. J’y ai d’ailleurs aperçu cet équipement que je n’avais jamais eu la chance de voir auparavant! Quelle belle ingéniosité permettant aux personnes ayant des besoins particuliers à pouvoir skier! Wow!

    Les sous-bois sont beaux et particulièrement populaires vu la neige tombée ces derniers jours. Puisque ma fille Rose est plutôt craintive, nous nous sommes contenté de la forêt des dinosaures située au bas de la piste.

    Le Mont-Orignal est réputé pour sa piste de boardercross et ses parcs à neige de très grande qualité. Les skieurs et planchistes s’en donnaient à coeur joie comme en témoigne cette photo d’un skieur en plein action. Le ski est bon, profitons-en!

    En images : Mont Lac-Vert, 18 janvier 2025

    Secteur BC

    Mont Lac-Vert est la station familiale par excellence située à Hébertville au Lac St-Jean. Mais n’oubliez pas son p’tit côté givré, le secteur BC. Un secteur auparavant accessible avec un guide seulement, il est maintenant ouvert à tous et toutes… Enfin… en ce moment, il faut connaître le secteur, car les petits “cliffs” manquent de neige.

    Secteur BC

    En ski touring, le secteur est accessible en 5-10 minutes de légère montée. Une fois la section plus délicate passée, la neige est là, mais demande beaucoup d’attention. Roches et souches ne sont pas loin !

    Secteur BC

    En ce qui concerne les pistes, c’était doux sous les skis. À partir de 11 h, il a neigé toute la journée. La neige a permis de conserver de très belles conditions sur l’ensemble du domaine skiable.

    Harfang des neiges, avant la neige…

    Les pistes à losanges du secteur à gauche des télésièges (lorsqu’on fait face à la montagne à la base), semblent manquer un peu plus de neige qu’ailleurs.

    Quelques sections à découvert dans L’À pic

    Alors que les sous-bois à droite semblent plus sécuritaires.

    La Martine
    La 132

    Pour les skieurs débutants, quoi de plus amusant que de skier dans la forêt avec son papa !

    La Ballade… avec papa !

    Avec l’arrivée voilà un an du nouveau gestionnaire, la Compagnie des Montagnes de Ski du Québec, le même qu’à Mont Grand-Fonds, on souhaite le meilleur pour cette sympathique petite station.

    Mont Lac-Vert

    En images: Val St-Côme, 18 janvier 2025

    Quelle magnifique journée en ski aujourd’hui!  Comme une petite chute de neige était attendue dans Lanaudière, je me suis dirigé vers Val St-Côme.

    Les conditions de glisse étaient parfaites. Un fond mou permettant de bons virages agressifs. On pouvait s’appuyer sur ses carres sans craindre les dérapages.

    La neige a commencé en début de matinée et n’a cessé de tomber tout au long de la journée, préservant ainsi les pistes en excellentes conditions, malgré le passage répété des nombreux skieurs.

    Il y avait quelques sous-bois ouverts, mais la couverture de neige était minimale. Malheureusement, plusieurs endroits étaient à découvert, ce qui rendait ces pistes moins intéressantes.

    Sur le versant du 1000 pieds, j’ai voulu essayer la piste 342. Il manquait de neige pour profiter pleinement de cette piste qui offre un terrain de jeu assez intéressant. C’est sûr que je vais y revenir lorsqu’il y aura plus de neige.

    Il y avait aussi une compétition de slopestyle durant la journée.  Plusieurs stations et centres d’entraînement étaient représentés par des athlètes en snowboard.

    La station offre aussi l’hébergement directement sur les pistes avec les Coolbox, on ne peut être plus près des pistes grâce à ce type d’hébergement. Sur le versant du 1000 pieds il y a aussi l’Auberge qui offre des chambres à rabais les dimanches.

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