La vraie saison est commencée au nord de Montréal dans les stations qui ont profité de quelques chutes de neige au cours des dernières semaines, de sorte que oui, ici, il y a une base naturelle. C’est dans une température idéale autour de -8 degrés et sous un soleil qui s’est montré en abondance que nous avons pu profiter de tout le domaine skiable, la station étant en opération à 100%.
La base naturelle ici fait environ un mètre de neige, testé évidemment le plus scientifiquement possible grâce au bâton de 135cm:
Base naturelle au sommet.
Les pistes et sous-bois extrêmes ont donc été le centre d’intérêt de cette journée, terrain signature de la station. J’étais accompagné d’un ami qui en était à sa première journée ici et il n’a pas du tout été déçu!
Du haut de la chaise, les pistes ont évidemment l’air extrêmes mais les caps de roches et chutes de glace sont toujours contournables et bien que ça ait l’air, du haut des airs, un peu dangereux, il n’en est rien! Ici, la Chute Libre:
Chute libre milieu.
Et évidemment un ami très content d’avoir bien descendu cette piste extrême:
Veni, vidi, vici!
Même la Pirouette haut, l’une des pistes les plus extrêmes du nord de Montréal était en excellent état:
Pirouette (haut).
Les sous-bois aussi étaient en bonne condition avec évidemment quelques passages techniques dans les endroits les plus à pic. Une tempête de 30-40cm serait par contre la bienvenue pour nous permettre d’y aller sans retenue. On y est presque!
Sous-bois Lavoie.Sous-bois Vertige.
Une fois vos quadriceps bien fatigués, il reste quelques belles pistes damées. Ici, Réjean s’amuse dans la Slalom en fin de journée y allant d’un bon carving:
Piste Slalom.
Rappelez-vous que la station offre le billet de ski d’après-midi le dimanche au tarif de 30$ et que du lundi au vendredi, le billet-jour est aussi 30$. La météo sera hivernale dans les prochains jours. Profitez-en si vous le pouvez!
La montagne se montre sous son plus beau jour aujourd’hui ! Les conditions de glisse sont vraiment extraordinaires !
Le site Internet de la station indique qu’ils ont reçu un total de 31 cm de nouvelle neige au cours de la dernière semaine.
La majeure partie des pistes est recouverte d’une neige poudreuse damée sur un fond ferme.
En ce qui concerne les sous-bois, il y a un seul mot qui me vient en tête…. Wow! Les bosses sont belles et agréables à skier avec toujours un peu de poudreuse ici et là. Un vrai régal !
Personnellement, j’ai rarement vu les sous-bois du Mont-Orford avec autant de neige.
Une compétition de ski acrobatique avait lieu dans la Magnum.
À la fin de la journée, les conditions n’étaient même pas dégradées ! Ce qui laisse supposer que demain sera une autre belle journée de ski !
Conditions parfaites aujourd’hui au Massif du sud. Ce petit coin de paradis a su ravir les passionnés de glisse ce samedi grâce à une neige d’une qualité exceptionnelle et une quantité impressionnante de neige accumulée. En ce 8 février, il y avait un événement festif à la montagne: le carnaval. Il y avait un spectacle de Bosko Baker sur l’heure du diner et à l’après-ski, un menu cabane à sucre et une démo Blizzard.
La station de ski a reçu 25 cm de neige fraiche dans les derniers 48 heures. Comme la montagne est ouverte du vendredi au dimanche, cette neige s’est cumulée et était vraiment abondante surtout dans les sous-bois.
Le Massif du sud est de loin l’une de mes stations favorites, car ici les sous-bois sont à l’honneur et bien entretenus.
La base (le fond des pistes) est très belle, il n’y a pas de roche ni de plaque de glace, et ce, dû à l’accumulation de neige en quantité abondante de la saison.
Ma piste préférée aujourd’hui était la cathédrale. C’est un sous-bois dans lequel on peut prendre de la vitesse et le choix de ligne est vaste. Les arbres sont magnifiques, ils sont chargés de neige.
Malgré le fait que le stationnement était plein, les gens étaient bien répartis dans la montagne et l’attente à la remontée mécanique était raisonnable considérant qu’il n’y en a qu’une seule pour monter au sommet de la montagne.
Avec des pistes recouvertes d’une couche épaisse de neige fraîche, les amateurs ont pu profiter d’une glisse optimale en cette fin de semaine!
Cette semaine, la station a annoncé que l’enneigement était terminé pour la saison. Bon moment pour ce genre d’annonce, alors que les récents « clippers » et la petite tempête de 19 cm de jeudi soir ont ajouté un total de 36 cm sur les pentes et les sous-bois en 7 jours.
La Brunelle
Tous les sous-bois sont ouverts, sauf la Bête. Nous n’avons skié que les pistes damées aujourd’hui. Y’a des journées comme ça où les conditions sont si belles qu’on ne ressent pas le besoin de s’aventurer ailleurs.
Un des accès du secteur Forêt noire.
L’Espoir était le paradis de la bosse… Nous avons laissé passer. Le groupe préférait les pistes damées et rapides.
L’Espoir
Nous nous sommes plutôt dirigés vers la Crête. Un grand classique, la photo à son sommet avec une vue spectaculaire de Cap-Tourmente à la ville de Québec.
Ici aussi, le fleuve est à nos pieds…
La section pentue de la Crête nous attendait avec des amoncellements de neige compacte et des plaques durcies.
La Crête
La journée a commencé dans la Pichard. Rares sont les descentes dans cette piste sans se poser la question s’il y aura des plaques durcies. Ce n’était pas le cas aujourd’hui !
Pichard
L’expérience MSA ne serait pas complète sans un arrêt de 15 minutes dans un télésiège. Nous avons eu le « privilège » de vivre ce beau moment dans l’Express du Sud… Ce qui nous a permis de constater que dans la piste la Tourmente, les roches se pointaient le bout du nez.
La Tourmente sous l’Express du Sud
Les pistes appartiennent à ceux qui arrivent tôt, car malgré les récentes accumulations, les plaques durcies apparaissent dans le Gros Vallon et la Beaupré. Mais en matinée, c’est splendide.
BeaupréGros Vallon
Le Corridor, ou le Chemin Roxham comme certaines personnes le surnomment, permet d’atteindre l’accès au télésiège Panorama. Grandement amélioré, il est désormais plus facile à emprunter. Voilà 3-4 ans, c’était un chemin étroit et houleux.
Le Corridor
Pour ce qui est du Versant Nord, nous n’avons skié que la Quanick. Toujours belle, elle permet d’avoir un splendide point de vue sur St-Ferréol.
68 pistes ouvertes sur 71, la preuve que l’hiver est pas si mal finalement !
En cette magnifique journée de snowboard avec mon ado, nous nous sommes dirigés vers son terrain de jeu de prédilection: le Main Park de Sommet Avila.
Sommet Avila étant reconnu pour être le plus gros terrain de freestyle des Sommets, il offre aux amateurs un espace dédié pour eux, à accès restreint. Les skieurs doivent se procurer une passe ou un accès journalier pour y accéder.
Le parc est rigoureusement entretenu par les Park Ranger qui le sillonnent tout au long de la journée et apportent les correctifs nécessaires pour les usagers.
Le parc est doté de plusieurs rails et box de plusieurs niveau de difficultés. Il permet une belle progression.
C’est d’ailleurs assez impressionnant de voir le talent des skieurs et planchistes sur ces modules. Certains modules semblent tout à fait impossible à exécuter, mais les plus aguerris y parviennent sans difficultés.
Qui dit parc de neige, dit évidement Big Air. Sommet Avila offre une belle ligne de slopestyle débutant par deux rails suivis de deux Big Air. Le plus petit étant très imposant, je me suis tout de même laisser tenter. Quelle sensation lors de ce saut, par contre le plus gros fait bien trop peur et je l’ai laissé aux plus téméraires.
Je recommande à quiconque veut pratiquer le freestyle de venir faire un tour à Sommet Avila. Le Main Park en vaut vraiment la chandelle!
En ce beau début de fin de semaine spéciale de notre party d’hiver avec mes collègues de travail, nous avons choisi de venir skier au Relais.
Dans « La Dorothée »
Toutes les pentes sont ouvertes, les descentes sont rapides sur fond durcis et damé.
Malgré la pancarte, le sous-bois était superbe
Mon coup de coeur est « Le petit Sous-bois » qui sort sur la familiale style pumptrack « La Dorothée » qui nous permet de finir notre descente tout en douceur.
Voilà tout au fond vers la gauche vous aurez de l’or blanc!
Dans celui-ci, nous avons découvert quelques espaces bien enneigés et moelleux en collant la gauche mais attention les planchistes c’est au ralenti… Un peu d’aide d’une skieuse avec bâtons a été de mise!
Mais, qu’ont-ils à me faire une pose de la sorte? Ça va bien les gars?
L’heure du dîner nous donne accès à des pistes moins populeuses. Elle nous permet aussi de profiter encore plus du moment.
Une petite partie de nous!
Le Relais nous a permis de passer un beau moment entre collègues de travail et ainsi apposer un velours sur ma solitude habituelle en montagne.
Sam qui s’amuse!
Je vous laisse avec cette petite figure stylisée de mon collègue dans la pumptrack!
C’est environ une douzaine de centimètres de neige qui est tombée durant la journée et la soirée d’hier. Le résultat est des plus satisfaisants ce matin à Sommet Olympia. Bien que damées (on aurait bien aimé se taper de la poudreuse!), les pistes sont sublimes en matinée. Elles demeurent en très bon état tout au long de la journée. Tout au plus trouve-t-on des plaques dures dans les deux pistes raides du versant L’Aiguille (une noire et l’autre, une double noire) en après-midi.
Les sous-bois sont recommandables et fréquentables! Aucune mauvaise surprise de ce côté.
Au départ de la Baqueira-Beret (verte), il faut s’assurer de prendre un vigoureux élan; le vent très vif et soutenu ralentit nos ardeurs dès qu’on quitte la remontée mécanique. Tout près, la St-Anton demeure fermée faute d’une couverture neigeuse adéquate. C’est dommage.
Au sommet de l’Aiguille de Piedmont, le vent souffle avec force. La piste elle-même est très lisse et très dure.
Au loin, on voit des blizzards se former et disparaître tout aussi vite. Le soleil et le couvert nuageux sombre se disputent au dessus de Sommet Olympia. Le soleil ne réussit pas souvent à prendre sa place. Entre les vents forts et l’humidité qui prévaut, la température ressentie est bien plus froide que ce qu’affiche le thermomètre.
En quête de chaleur ou de réconfort, le resto-bar Le Kozak est tout indiqué. Pour ceux et celles qui ont apporté leur boîte à lunch, le sous-sol du même bâtiment est accueillant et possède suffisamment de places pour accueillir tout le monde en semaine. Lors des fins de semaine, il est préférable de favoriser les heures moins fréquentées (entre 11h00 et midi, puis à partir de13h00).
Mes trois complices et moi nous préparons à un safari de ski dans l’Ouest canadien. Avec plusieurs bonnes pentes et du terrain varié, Sommet Olympia est une bonne destination où faire nos derniers exercices techniques avant de boucler nos valises. Afin d’être certains de pouvoir durer sur les vastes domaines de l’Ouest, nous faisons beaucoup de descentes avec peu d’arrêts.
Au menu aujourd’hui, percées de soleil, température agréable et neige fraîche.
Un 9 cm de nouvelle neige reçue nous propose une surface de poudreuse damée sur un fond ferme.
De la belle neige poudreuse semblait couvrir le secteur du versant de la côte Ouest.
Malgré des conditions de neige extraordinaire, un seul souci, le vent ! Nous avons donc pris la décision de skier dans les sous-bois où on a eu énormément de plaisir !
Le domaine skiable est ouvert à 100 % et offre des pistes agréables à skier et sans glace ! Bon ski !
Pour raconter aujourd’hui, il faut d’abord parler d’hier. Le froid matinal avait été rapidement vaincu par le soleil qui n’avait d’égal que l’air sec et calme. Ce matin, l’aube laisse le soleil se profiler, mais les nuages sont prêts à prendre le flambeau afin de nous enneiger dès 10h00. L’air est lourd et humide, les flocons bloquent l’horizon. Les skieurs sourient à la vue du trésor blanc.
Le sol et le ciel sont également blancs/gris. On n’est plus sûr des tons qui dominent. Chose certaine, par moments la visibilité est limitée alors que la surface se laisse deviner. Des lentilles ambres, rosées ou jaunes nous laissent croire que l’on sait sur quoi l’on skie…
Les surfaces cachent quelques surprises: entre du damé ferme et des amoncellements de neige fraîchement accumulée, des plaques gelées surgissent. Peu nombreuses, il faut le dire, elles n’en sont pas moins des défis à surveiller. Ce n’est qu’en skiant dessus qu’on les découvre, car se fier à ses yeux relève d’un acte de foi! On ne dira pas que skier à Sommet St-Sauveur est ennuyant aujourd’hui!!
Du côté de Sommet Avila, le débarcadère de la remontée principale est des plus tranquilles. En se dirigeant vers la gauche, la piste Laurentides est superbe.
De nombreux visiteurs se rendent au café de l’atelier afin de prendre une pause. Peut-être aussi afin de permettre à leurs yeux de se refaire un « focus », loin des conditions blancs/gris qui prévalent sur les pistes.
Juste à côté de l’atelier, ce petit espace chaleureux est parfait pour prendre mon café de 10h30. Cependant, la neige a tôt fait de fondre sur mes cuisses; il me faut donc me lever et rapidement retourner skier. Sans regret!
À 8h30, il ne neige pas encore. On voit donc parfaitement pourquoi tant de machinerie et d’ouvriers s’affairent à la base. Ce samedi 8 février aura lieu l’édition 2025 des Beaux 4 heures de la Fondation Martin-Matte.
La relève se porte à merveille, sauf qu’elle ne le sait pas encore! Grand-père soigne son épaule et n’est pas peu fier de sa petite fille. Ma barbe blanche et mes goggles n’ont pas convaincu la petite que je suis un gentil chroniqueur…
Le Massif du Sud n’étant plus un secret bien gardé, je m’attendais à y voir un peu plus de skieurs et planchistes en ce beau dimanche un peu frisquet. Joie ! Avec 29 cm de neige tombée sur la montagne cette semaine, je m’y suis rendu avec l’intention de skier dans les sous-bois. Je fus agréablement surpris de découvrir une neige plutôt moelleuse non seulement en forêt, mais également dans les pistes damées qui étaient particulièrement agréables à skier aujourd’hui. Je fus également bien heureux de voir au sommet des fantômes, ces conifères bien chargés de neige.
C’est bien meilleur quand c’est mou !
La montagne a beau être reconnue pour ses sous-bois experts, rassurez-vous, il y en a pour tous les niveaux et tous les goûts. Le facteur le plus important pour un skieur du dimanche comme moi, ce sont les conditions de neige en forêt. Disons simplement que c’est bien meilleur quand c’est mou ! Attention toutefois : tout comme la neige durcie ou glacée, une poudreuse trop profonde accroit le niveau de difficulté. Cela requiert alors de la pratique ainsi qu’un équipement spécialisé tels des skis très larges au patin (fat) ainsi que des bâtons équipés de paniers de poudreuse. Aujourd’hui, la neige du jour est parfaite pour mes skis tout-terrains et moi!
De la Timide à la Cathédrale
Située au bas de la piste 9 (la Villageoise) qui a d’ailleurs été reclassée de facile à intermédiaire, je commence mon périple par la Timide (9C) qui est un sous-bois intermédiaire très accessible. Large et peu pentu, il me permet de m’échauffer puis ensuite d’accroître un peu la vitesse en toute sécurité. La neige est généreuse, je me sens bien et j’ai du plaisir ! Pour un défi supplémentaire, il est aussi possible d’entrer un peu plus haut par la Réserve (8a).
À la deuxième descente, j’ai choisi de skier le combo la Bipolaire (9b) suivie de la Polaire (10b). Ces pistes classées avancées sont plus pentues et plus techniques tout en demeurant assez accessibles. Cela m’oblige à prendre le temps de bien lire le terrain et ainsi choisir des lignes qui feront en sorte de me garder sur mes deux skis ! Ne le dites à personne : j’ai utilisé quelques chicken pass et je suis sorti de la Bipolaire juste avant la dernière section qui est la plus ardue ! La Polaire, immensément large, assez à pic mais tout de même plus hospitalière pour un skieur intermédiaire, fut pour moi un vrai charme à skier.
Avant d’aller dîner, j’ai pris la remontée Poma de la pente-école afin de découvrir une piste qui a piqué ma curiosité, la Sasquatch (12c). Surprise : cette piste a si peu été skiée cette année qu’il était possible d’y faire des premières traces dans une neige plutôt profonde ! Comme j’aurais aimé avoir des palettes plus larges sous les pieds ! Je me rappelle alors les conseils usuels pour skier dans la poudreuse : « Léger sur les bottes, le poids bien centré, rapprocher les pieds en gardant une bonne vitesse ». C’est plus facile à dire qu’à faire, me dis-je ! Cela dit, je m’amuse en me disant que même si je chute, je ne risque pas de me faire bien mal avec toute cette neige très molle.
Me voici rendu à la 3e descente du sommet. Je me dirige vers le secteur ouest de la montagne afin de prendre la Skinusite (17). Je recommanderais aux skieurs moins expérimentés de commencer par explorer la deuxième section (18C) qui est d’ailleurs mon coup de coeur de la journée ! C’est beau, c’est tranquille, il y a des défis mais qui jamais n’excèdent mes capacités. D’ailleurs, je n’y ai aperçu qu’un seul skieur !
À la 4e descente, je me dirige vers le réputé secteur expert de la station afin d’y emprunter une piste qui représente pour moi à la fois le meilleur et le pire : le mythique sous-bois la Cathédrale (8). Il s’agit d’ailleurs du plus long de la station. Le meilleur : c’est le doux début très progressif avec de magnifiques épinettes que la nature a planté avec goût. Cette section représente pour moi une extase visuelle doublée d’un sentiment de liberté. Maintenant le pire : c’est lorsque le terrain devient très penché, pentu et beaucoup moins hospitalier. Il faut non seulement prendre garde au ruisseau, mais aussi à ne pas tomber sur ce terrain passablement accidenté. N’étant justement pas un expert et désirant finir la journée sur une bonne note, je décide de prendre la sortie située environ à la mi-montagne.
Paysages vertigineux une bonne table
Le Massif du Sud, ce n’est pas seulement des sous-bois. C’est aussi une nature sauvage, des pistes damées à rendre jalouses les stations avoisinantes, un parc à neige, des paysages vertigineux ainsi qu’une table incluant un menu du jour réconfortant qui goûte un peu comme chez notre mère !
En terminant, j’aimerais mentionner la création d’un nouveau secteur hors-piste de niveau expert nommé la 5e dimension. Il est situé à droite sur la carte des pistes. Ayant déjà fait de la randonnée pédestre dans le secteur, je me doute que cela doit permettre des descentes pas piquées des vers… D’ici à ce que je me sente assez confiant pour y mettre les palettes, je vais continuer à m’exercer dans les sous-bois plus accessibles tels ceux mentionnés ci-haut. Le Massif du Sud, beau et neigeux comme présentement, impressionne. Bon ski !