La dernière tempête aura laissé 23 centimètres au Mont-Orford. Ce n’est peut-être pas à crier sous tous les toits pour certains, mais si on revient sur la saison en général, l’accumulation frôle le 4 mètre au total. À cette période de l’année, on parle d’une excellente couverture blanche en Estrie, si bien que 100% du domaine est accessible.
Au sommet de la piste Chevreuil, une double noire coupant la fameuse 4 kmLa Petite Ourse, une intermédiaire qui demande un bon contrôle
Avec toute cette neige, ne pas skier les sous-bois serait presque un sacrilège. Les pistes Chevreuil et Petite Ourse sont deux exemples parfaits d’une saison à succès. On se lance là-dedans sans se poser de question, presque comme s’il n’y avait pas de lendemain. Bien que la Petite Ourse soit une bleue, il faut quand même négocier bosses et arbres. Quant à la Chevreuil, on est définitivement face à la bête avec ses bois. C’est une superbe longue descente qui garde au chaud par temps froid ou venteux.
La Grande Coulée
Lors d’une remontée, j’ai eu la chance de discuter avec deux habitués de la station. J’ai alors été agréablement étonné d’apprendre l’existence de deux abonnements en semaine (lundi au vendredi) qui peuvent offrir une rentabilité incroyable. La passe cinq jours est à moins de 300 $ et la passe 1 jour flex (une seule journée par semaine, peu importe, à votre choix) pour un peu plus de 200 $. On félicite l’effort de la station pour offrir un tarif aussi abordable.
Sommet du Mont Alfred-Desrochers
Comme partout, la randonnée alpine est très populaire. J’aime beaucoup la diversité, soit onze (!!!) options de sentiers différents d’ascension, ce qui est une des offres les plus généreuses au Québec. Pour les amateurs de défi, ne ratez pas La Coupe des 3 sommets qui aura lieu demain le 15 février. Et si vous souhaitez découvrir les sentiers de rando alpine sans le stress de la compétition, lisez le texte de mon collègue Pierre, qui vous indique son tracé préféré!
Si vous avez l’habitude d’aller à Orford pour ses belles longues descentes damées, voilà peut-être l’occasion d’y faire une visite pour autre chose, soit les sous-bois qui sont en grande forme.
La tempête du 13 février aura laissé 31 cm sur les pentes du Mont-Sainte-Anne. Ce matin, c’est sous un ciel bleu et un bon vent du nord-ouest que nous partons skier cette belle neige !
Enfin, skier les sous-bois sans stress ! Dans la Belle, malgré les gros vents de la veille, la neige s’est accumulée généreusement.
La Belle
Mêmes conditions dans la Yahoo, sous-bois oublié par les skieurs ce matin. Tant mieux pour nous ! Yahooooo !
Yahoo !!Neige fraîche à la recherche de skieurs !
À notre arrivée dans la file d’attente de la billetterie, on nous informe que les télécabines sont fermées à cause des vents forts au sommet. Avec les mésaventures des dernières années, les skieurs ont de la difficulté à croire le Mont-Sainte-Anne. Par contre, ce matin c’est véritablement pour cette raison. Nous nous sommes dirigés à l’Express du Sud. Notre attente a débuté à 9h20. Nous sommes arrivés au sommet du télésiège à 10h10 pour skier notre première piste de la journée.
L’Express du Sud à 9h20.
Il fallait donc être stratégique ce matin et tenter de deviner où sont les skieurs pour éviter les files d’attente trop longues.
Lorsque les télécabines ont ouvert vers 10h, au moment où on embarquait dans l’Express du Sud, on savait que la bonne décision était de prendre à nouveau l’Express du Sud.
Avec un tel retard et qu’une demi-journée de congé, les descentes sont peu nombreuses.
Vital-Roy.
Le sous-bois Vital-Roy au nord était féerique. Super doux sous les skis, aucun piège, amusant !
Vital-Roy.
Les bosses se sont rapidement accumulées sur les pistes damées comme la Beaupré.
Beaupré.
Tout comme la Quanik.
Quanik.
Un conseil pour ceux et celles qui aimez les conditions damées : arrivez tôt samedi matin !
La nuit dernière et encore ce matin, l’Outaouais a été frappé par ce qui est probablement la plus grosse tempête de neige des deux ou trois dernières années. Voici un aperçu de la situation ce vendredi vers 11 h au pied du versant Coupe du Monde : un véritable festin de poudreuse avec des « refills » illimités à chaque descente!
Du sommet de la piste Alliance, avec encore une belle couche de neige fraîche pour sauter, flotter et se régaler!
Les deux pistes sous le télésiège triple étaient devenues redoutables pour ceux qui n’ont pas l’habitude de skier dans autant de neige fraîche. Avec leur pente raide et la neige profonde, elles peuvent facilement surprendre les moins expérimentés. J’ai d’ailleurs croisé de jeunes enfants obligés de descendre skis à la main, tant la quantité de neige compliquait la descente bien plus que d’habitude.
Avec toute cette neige, j’ai enfin pu skier des pistes que je n’avais pas touchées depuis au moins deux ans, faute de conditions adéquates. Comme ici, dans la Détour : une piste sauvage, mais étonnamment classée intermédiaire — un vrai coup de cœur, pile dans mes goûts!
Une fois sortis de la Détour, nous voilà dans la Crazy Creek. Une superbe combinaison pour enchaîner les défis du sommet jusqu’en bas!
Voici la piste Fun Run, où les monticules naturels se transforment en énormes bosses de neige, parfaites pour s’amuser et tester son équilibre!
Fun Run… une piste qu’on a envie de refaire encore et encore, avec un défi toujours différent à chaque descente. Bref, même si les écoles étaient fermées aujourd’hui, les pistes étaient étonnamment calmes. Conditions idéales pour enchaîner sans relâche nos descentes dans nos pistes préférées!
Oh que j’attendais ce moment depuis le début de l’hiver, une bordée digne de ce nom pour aller à La Réserve. Une de mes montagnes favorites de la région.
À notre arrivée, un bon 20 cm de neige était tombé dans la nuit et la tempête n’as pas arrêté de la journée.
La Réserve c’est ma montagne de prédilection pour les sous-bois et les journées de poudreuse. Je ne suis pas le seul! Les skieurs s’amusent à sauter les roches présentent sur plusieurs pistes de la station.
Comme dirait mon garçon, c’est une journée avec le « fall damage » désactivé: la neige poudreuse pardonne toutes les chutes! Il en a profité pour tester tous les petits racoins possibles pour sauter.
J’ai suivi fiston dans ses folies et me suis laissé tenter par de bons sauts avec des atterrissages tout en douceur dans un gros tapis de neige, le summum du ski.
Un autre petit saut avec atterrissage parfait.
Vers la fin de la journée, mon garçon s’est laissé tenter par LA roche de la chute libre, celle qui est comme la roche phare de la montagne. Le défi des skieurs qui visitent la montagne pour la première fois…ou la centième.
Malgré la quantité de gens atteints de skinusite aujourd’hui, il n’y avait aucune attente et les conditions sont restées sublimes toute la journée. Si vous sortez, faites attention de ne pas attraper ce vilain virus qui vous force à skier!
En sortant de l’auto dans le stationnement au bas du Mont Giroux Est, le vent mordant du petit matin nous rappelle que nous sommes bel et bien en plein cœur d’un hiver québécois normal (enfin !). Nous apprêtons rapidement notre équipement, mettons les peaux et courrons sur nos skis pour nous réchauffer en direction du sentier d’ascension Le Renard. C’est ici que commence le circuit que nous vous proposons dans cet article, qui permet de parcourir les trois sommets du domaine skiable de la station du Mont Orford.
Fred dans le sentier Le Renard.
Accompagné par mon ami Fred Pageau, l’objectif de la journée est d’atteindre le sommet du Mont Orford, descendre jusqu’au bas du Mont Alfred-Desrochers pour remonter puis redescendre, pour enfin faire l’ascension du Versant Giroux Nord et sillonner entre les arbres des sous-bois du Versant Giroux Est afin de revenir à l’auto. Un bon plan, qui nous fera parcourir presque 9 km vertical et près de 1050 mètres de dénivelé positif.
Un premier sommet : le Mont Orford
La combinaison des sentiers Le Renard – Le Lièvre – Le Campagnol, tous développés par la Sepaq, permettent de rejoindre le sommet du Mont Orford. La progression de la randonnée est parfaite pour commencer la journée : Le Renard est un sentier facile qui permet de bien se réchauffer le cardio, Le Lièvre est classé intermédiaire avec une pente plus prononcée par endroit, et finalement Le Campagnol est plus incliné et légèrement technique.
Pierre dans le sentier Le Lièvre.
C’est probablement la partie la plus esthétique du circuit proposé, puisqu’elle nous fait traverser les types de végétation qui peuplent le Mont Orford, de la forêt de feuillus ouverte jusqu’aux conifères enneigés. La dernière section, à l’approche du sommet, est tout simplement magnifique avec les arbres figés dans leur manteau hivernal.
On poursuit vers le sommet du Mont Orford en empruntant le sentier Le Campagnol.
C’est aussi la partie la plus longue du circuit avec 5,2 km, et celle qui compte le plus grand dénivelé, soit environ 530 mètres.
Fred dans Le Campagnol à l’approche du sommet.
Une fois au sommet, le vent typique du Mont Orford nous fouette le visage et nous refroidit rapidement, ce qui nous pousse à faire la transition à grande vitesse et entamer la descente pour rejoindre le bas du Mont Alfred-Desrochers.
C’est un hiver enneigé en Estrie, alors la question ne se pose pas : nous allons tout droit vers La Contour, cette piste experte qui est un incontournable de la station.
Pierre profite de la neige molle dans La Contour.
Les quelques centimètres tombés au cours de la nuit adoucissent les surfaces en bosses et la neige molle est malléable, ce qui agrémente beaucoup la descente avec un équipement de touring.
Fred profite des conditions parfaites !
Un deuxième sommet : le Mont Alfred-Desrochers
Après une descente très plaisante dans La Contour, nous arrivons au début du sentier d’ascension L’Alouette, qui nous mènera au sommet du Mont Alfred-Desrochers. C’est un sentier également développé par la Sepaq et qui permet un gain de 280 mètres de dénivelé sur 2,4 km.
Fred dans le sentier de L’Alouette.
À l’image de la première partie de notre circuit, ce sentier nous éloigne des pistes et nous fait plonger dans la beauté hivernale de la forêt. C’est encore plus vrai à l’approche du sommet, alors que les feuillus laissent leur place aux conifères enneigées et qu’on passe sur l’Étang du Rat Musqué.
Un petit tour sur l’Étang du Rat Musqué.
Rendu au sommet, on passe encore une fois à la transition au mode ski alpin et on s’élance dans la piste La Cascade. Cette piste intermédiaire, étroite avec ses courbes et ses reliefs, est amusante à skier et permet de nous reposer – relativement – les jambes en vue du dernier coup à donner : l’ascension du Mont Giroux.
Fred descend La Cascade.
Un troisième sommet : le Mont Giroux
Dans l’intervalle de la transition au mode rando, Fred regarde sur son app et nous fait changer de plan d’ascension. Au lieu de monter par le chemin traditionnel pour rejoindre le sommet du Mont Giroux, c’est-à-dire par la combinaison des sentiers La Tortue et Le Tracée du Lynx, nous choisissons une option moins fréquentée.
Le sentier Le Carcajou devient ainsi une belle alternative à La Tortue – qu’on s’amuse à surnommer l’autoroute – mais qui reste tout de même pas mal plus exigeant. Pour donner une idée, si vous regardez le Versant Giroux Nord à partir du chalet, le sentier se trouve à monter dans le bois, à gauche de La Magnum. C’est quand même incliné !
On rejoint le début du sentier en montant dans la piste Adams, située à gauche de la pente école. Puis, avant la cassure du Mont Giroux, on repère l’entrée du sentier qui s’enfonce dans la forêt. Celui-ci est de 0,8 km, auxquels il faut ajouter la section de la piste Adams, pour un total de 250 mètres de dénivelé.
L’entrée du sentier Le Carcajou se trouve au bout de la piste Adams.
D’ailleurs, on se surprend un peu que ce sentier développé cette fois par la station de ski soit classé « intermédiaire ». Nous l’avons trouvé quand même assez incliné et un peu technique par endroit. Reste qu’il nous mène directement à l’entrée des sous-bois du Mont Giroux, que nous souhaitons justement skier pour notre dernière descente.
Le sentier nous mène au départ des sous-bois du versant Giroux Est.
Avec les jambes un peu molles de tout ce qui précède, nous effectuons la transition une dernière fois vers le ski alpin pour s’élancer ensuite entre les arbres du sous-bois Lloyd Langlois, avant de bifurquer dans le Nicolas Fontaine.
Pierre dans le sous-bois Lloyd Langlois.
Les conditions sont excellentes, et malgré les roches typiques du Mont Orford qui ponctuent la descente, nous réussissons à faire de beaux virages entre les arbres.
Fred se dirige vers le sous-bois Nicolas Fontaine.
Nous nous laissons ensuite glisser jusqu’à la voiture, bouclant ainsi la boucle du circuit des trois sommets !
Envie de vous lancer? Sachez qu’il est permis de pratiquer la randonnée alpine à la montagne entre 6 h et 22 h. Notez, par contre, que les zones désignées pour la randonnée alpine diffèrent selon les heures d’opération de la station. Il est interdit d’accès aux pistes de niveau noir. Info sur les conditions de randonnée alpine au Mont Orford : https://montorford.com/fr-ca/hiver/condition-randonnee/
Journée très calme aujourd’hui à la station après une fin de semaine achalandée. Il y avait une centaine d’autos dans le stationnement tout au plus.
La météo était un peu froide avec un mercure autour de -13 et un temps nuageux avec de bonnes périodes d’ensoleillement. La neige compactée par le froid damée la nuit dernière conjuguée au faible flot de skieurs a permis aux conditions de se maintenir tout au long de l’après-midi, les plaques de glace étant très rares.
Piste Audacieuse.
Les conditions permettaient évidemment un carving des plus agressifs et on pouvait se laisser aller sans retenue!
Piste Geneviève Simard.
La base naturelle ici ne fait encore qu’environ 50cm. Les sous-bois du versant Mille Pieds, ainsi que les pistes extrêmes étaient malheureusement encore fermées.
Base au sommet.Piste Pins Rouges.Piste Falaise.
La station accueillera une étape de la coupe du monde de surf des neiges en parallèle la fin de semaine prochaine dans la piste Grande-Allée. Une dameuse était d’ailleurs à l’œuvre pour préparer ladite piste. Notez donc que certaines pistes du Mille Pieds seront fermées cette semaine pour l’événement.
Côté météo, une tempête de neige devrait enfin s’abattre sur les régions situées au nord de Montréal dans la nuit de mercredi à jeudi.
Une autre magnifique journée dans la région des Cantons-de-l’Est! Cette fois-ci, nous étions de retour au Mont SUTTON, où les conditions étaient tout simplement incroyables. Il y a longtemps que cette région n’a pas connu une véritable saison hivernale comme celle-ci, et c’est un pur plaisir!
La piste Dynamique dans le secteur IV
Le Mont SUTTON nous offrait 100 % de son domaine skiable. Les sous-bois et les pistes à neige naturelle étaient exempts de la moindre plaque de glace, puisqu’il n’y a eu ni redoux ni pluie depuis plus d’un mois. Quant aux pistes à neige fabriquée, elles étaient tout de même très belles, malgré quelques zones glacées par endroits.
Max dans la Fantaisie (versant naturel sud)
Nous avons skié le versant sud (versant naturel) en dévalant la piste Fantaisie! Encore une fois, c’était un pur délice de skier dans cette belle neige naturelle. J’ai rarement vu cette piste en aussi bon état, sans aucun obstacle naturel. Le retour vers le versant principal, d’une durée de 10 à 15 minutes, en valait vraiment la peine après une si belle descente!
La piste Fantaisie (versant naturel sud)
Il y avait pas mal de skieurs et de planchistes en matinée à la montagne, mais plus la journée avançait, moins c’était achalandé. L’attente au télésiège principal II était d’au maximum 10 à 12 minutes en matinée et ne dépassait pas 5 minutes en après-midi. L’événement du Super Bowl a certainement eu un impact sur l’achalandage des stations de ski cette journée-là.
Max en action dans un des nombreux sous-bois du secteur IV
La météo était tout simplement idéale en cette journée, avec un mercure oscillant à -6 degrés et aucun vent. Le soleil était présent en matinée et le ciel s’est couvert en après-midi, avec même un peu de neige en fin de journée. Que demander de mieux pour une journée de ski à la montagne?
Le fameux Round Top (le plus haut sommet du Mont Sutton culminant à 960 mètres d’altitude)
Le Mont SUTTON est absolument incroyable cette année, et vous devez absolument aller visiter cette grande montagne! Vous allez tout simplement en tomber amoureux. Des conditions de neige fantastiques, des pistes et des sous-bois à l’infini, ainsi qu’une ambiance des plus typiques et old school au Québec!
Magnifique dimanche de ski à Camp Fortune, la météo et les conditions de neige sont excellentes! Aucune excuse pour ne pas aller skier. Il y a beaucoup de monde autour du chalet principal, mais jamais de véritable attente aux remontées mécaniques. Nous débutons notre journée ici sur le versant Skyline.
Ici, tout en haut de la piste Bud Clark, une noire idéale pour entamer la journée et jauger les conditions. Verdict : c’est validé et approuvé! Les conditions sont si bonnes que la piste pourrait presque passer pour une bleue tant elle se skie facilement.
On en profite pour aller dévaler la Heggtveit. Arrivés sur le dernier mur, aucune trace de glace : juste une neige bien accrocheuse sous les skis.
Nous poursuivons notre exploration de la station en direction du versant près du télésiège Clifford. Surprise! Une démo de skis Blizzard et Nordica est en cours. L’occasion idéale pour tester du nouveau matériel : ma fille essaie les Nordica Santa Ana 87, tandis que je chausse les Blizzard Anomaly 88.
Et pour terminer, un dernier essai pour moi : les Nordica Dobermann SLR DC. Des skis qui explosent à chaque virage, offrant puissance et précision. Avec ça sous les pieds, c’est 10 ans de moins instantanément!
En haut de la piste Clifford.
Sur le versant Meech, au début de la piste North American, la seule piste de la station vraiment à part. Elle est laissée à l’état sauvage, sans entretien mécanique, offrant une expérience unique et authentique.
Un peu plus bas sur la piste North American, de belles pentes inclinées, accessibles à la plupart des skieurs, parfaites pour repousser ses limites et gagner en confiance! Sur ce même versant, ne manquez pas de découvrir le sous-bois La Cache. Je l’ai rarement vu ouvert ces dernières années à cause du manque de neige, mais cette saison, c’est votre chance d’y plonger et de l’essayer!
Un dimanche matin absolument parfait pour aller redécouvrir la station de ski Chantecler dans les Laurentides.
Un air de changement vraiment positif se fait sentir un peu partout suite à prise en charge de la station par la nouvelle administration. Que ce soit sur les pistes ou lors de conversations avec les détenteurs de passe de saison ou des employés.
En voici une nouveauté, un petit parc à neige en plein milieu de La Baladeuse.
Si à un moment ou à un autre vous ne savez plus où vous êtes, n’ayez crainte! Située entre les pistes 45 & 43, cette affiche plutôt impressionnante vous le rappellera.
C’est journée d’entraînement pour les clubs de compétition. Ils ont pris d’assaut les pistes 46 & 44, mais nous laissant quand même l’opportunité de pouvoir en profiter sur la gauche de celles-ci.
Vous en avez assez de l’hiver? Votre cœur balance entre continuer votre saison de ski et aller dans les sud? Pourquoi pas les deux! Voici la solution, tout en haut de la remontée mécanique principale, on vous transporte loin du froid avec le son de la musique Reggae des tropiques. Oui, une autre belle initiative: musique au chalet en bas et en haut. C’était vraiment très amusant de voir les gens se dandiner dans les chaises et danser en haut.
Journée relativement tranquille à Ski Chantecler aujourd’hui, presque pas d’attente aux remontées. Serait-ce l’effet SuperBowl qui se faisait sentir déjà en matinée?
À la lumière des photos que vous pouvez voir, il n’y avait pas une foule aujourd’hui en station, ce qui est bien parfait pour moi. Les conditions étaient belles, malgré quelques endroits glacés au milieu des pistes de catégorie très difficiles et très très difficiles.
J’ai vraiment apprécié cette nouvelle ambiance partout sur le terrain de Ski Chantecler. Je vous suggère fortement d’aller y faire un tour d’ici la fin de la saison. Vous passerez une superbe journée c’est garanti.
Aujourd’hui nous sommes allés à Sommet Olympia, une belle montagne familiale des Laurentides. Le ciel dégagé en matinée offrait une vue superbe: au loin le Sommet Gabriel.
Bien que nous sommes rendus en février, nous pouvons encore voir des pancartes indiquant que certaines pistes ne sont pas pleine largeur ou offrent des conditions minimales.
Les conditions des pistes sont vraiment bien. Une belle couche de neige recouvre celles-ci.
Il est possible de faire du beau carving, seulement quelques endroits sont glacés ou durcis, mais principalement dans les pistes plus abruptes.
Sommet Olympia a vraiment tout pour plaire avec sa diversité de terrains. Plusieurs beaux sous-bois sont disponibles offrant chacun un niveau de défi différent.
Bien que le couvert neigeux soit très mince dans la forêt, il est tout de même possible de s’amuser et de sortir des pistes damées. Ces sous-bois doivent être vraiment agréables lors d’une journée de poudreuse.
Pour compléter son offre, un beau parc à neige est disponible. Il s’agit d’un petit parc de niveau débutant à intermédiaire. Un saut avec deux niveaux de difficulté y est aménagé.
Quelques boxs et rails relativement faciles sont aussi disponibles et permettent de se pratiquer en toute sécurité. Le parc à neige est très bien entretenu et de bonne dimension.