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    En images: Val-St-Côme, 2 mars 2025

    Sous-bois 342 sur le versant du 1000 pieds

    Suite à la belle neige reçue dans la nuit de vendredi à samedi dernier, nous nous sommes rendus cette fois-ci à la station Val-St-Côme, située dans la magnifique région de Lanaudière.

    À la base de la station avec une vue sur la piste de compétition de bosses (Alex Bilodeau)

    Malgré une chute drastique du mercure durant la nuit, Val-St-Côme nous attendait aujourd’hui sous un ciel bleu avec un soleil des plus resplendissants! Avec un versant plein sud, le soleil est omniprésent toute la journée, nous procurant une visibilité optimale et, par le fait même, nous réchauffant légèrement. La température n’a jamais dépassé les -14 degrés, mais en skiant pratiquement uniquement dans les sous-bois, nous sommes restés au chaud en faisant travailler notre corps.

    Julien en action dans le sous-bois 342 (versant du 1000 pieds)

    Malheureusement, la station de ski a reçu un peu de pluie la semaine dernière lors du redoux, et la surface skiable du versant principal, situé à une altitude plus basse, a légèrement durci, créant par endroits une base glacée et croûtée. C’était tout de même agréable à skier avec la nouvelle neige reçue, mais nous avons surtout skié le versant du 1000 pieds, où seule la neige était tombée, à notre plus grand bonheur!

    Max a la sortie du sous-bois les Caps (versant du 1000 pieds)

    La température froide a refroidi l’ardeur des skieurs aujourd’hui, car l’attente aux diverses remontées mécaniques était pratiquement nulle! Nous avions les sous-bois du 1000 pieds presque à nous seuls en après-midi, tant ils étaient peu fréquentés! Il était encore possible de skier quelques lignes de poudreuse par endroits, ce qui était fort agréable.

    Julien lors d’une rare descente dans une piste damée (Geneviève Simard)

    Val-St-Côme nous offrait 100 % de son domaine skiable avec toutes ses remontées mécaniques ouvertes! Comme à l’habitude, le versant principal, offrant une plus grande variété de pistes pour tous les types de skieurs, était beaucoup plus fréquenté durant la journée que le versant du 1000 pieds.

    Max en action dans la Périlleuse (versant du 1000 pieds)
    Julien en action dans le haut de la Périlleuse (Versant du 1000 pieds)

    Ce fut une belle journée aujourd’hui à Val-St-Côme, malgré le froid, mais avec un soleil de plomb qui commence à gagner en vigueur. Il faut profiter des dernières semaines hivernales, car le printemps arrivera bientôt, et la belle surface de neige d’hiver que nous avons présentement commencera à se transformer de jour en jour, surtout dans des stations orientées plein sud comme Val-St-Côme!

    La relâche scolaire bat son plein cette semaine, et attendez-vous à voir plus de monde sur les pistes un peu partout au Québec! Bon ski!

    En images: Sommet Gabriel, 2 mars

    C’est un petit matin pas chaud, mais l’éclat du soleil et l’abondance de neige ont vite fait de réchauffer l’atmosphère. Et dire que je n’avais pas mis les skis ici depuis une dizaine d’années! Je retrouve une station excitante et accueillante.

    Le chalet se trouve à mi-station, si bien qu’en sortant on doit descendre à ski afin de rejoindre la remontée mécanique. Au loin, la station soeur Sommet Olympia. Grâce à l’orientation variée de ses pistes, Sommet Gabriel jouit d’un ensoleillement complet peu importe la piste que l’on descend ou la remontée que l’on emprunte.

    Les sous-bois de la station sont très généreusement recouverts de neige. Ceux marqués double diamant sont à la hauteur de ce qu’ils annoncent: très difficiles!

    Les surfaces sont tendres, bien qu’à certains endroits on râcle déjà un fond dur. Cependant, aucune glace ne se manifeste. Ce matin, l’air est sec et vif; la neige épargnée par les dameuses est également sèche et très légère. Les descentes sont rapides; en y mettant un minimum d’angulation, les carres pénètrent solidement dans la neige.

    Sommet Gabriel est une excellente destination pour les familles. Que les marmots aient 4 ou 16 ans, tous y trouveront de quoi se satisfaire. Les skieurs et planchistes confirmés ne seront pas déçus de leur visite non plus. La semaine de relâche qui débute est une occasion en or de visiter la station située à 5 minutes à peine de sa grande soeur, Sommet St-Sauveur, qui a tendance à être bondée.

    Plusieurs segments de la station sont réservés aux tout-petits. La signalisation est claire, donc pas de mauvaise surprise en vue. Et ceux qui recherchent les défis sérieux sauront rapidement localiser le terrain double diamant qu’il leur faut.

    La flamme est modeste, la chaleur qui s’en dégage aussi. Cependant, c’est d’abord l’odeur de la fumée qui nous attire. Au débarcadère, toutes les remontées se rejoignent sur une vaste plaza. Voici enfin une station qui évite les attroupements qui en irritent plus d’un lors de la descente des remontées mécaniques.

    Parfaitement située pour quiconque souhaite se mesurer aux grosses bosses, et être vus, la O’Connell (double diamant) est de mise. Face au soleil et au pied d’un belvédère, la piste est un classique du genre.

    En images : Mont Orignal, 1er mars 2025

    Comme la neige a neigé sur le Mont Orignal en ce beau samedi! Que ça débute bien la relâche! La température est douce et le ciel est généreux. Les conditions de glisse sont excellentes avec la petite poudreuse légère en avant-midi et qui s’alourdira un brin en après-midi. La remontée mécanique sextuple fournissait amplement à la demande malgré un achalandage légèrement plus grand que la moyenne de la station.

    La piste familiale est très belle et populaire aujourd’hui! On y voit notamment des skieurs et planchistes débutants de tous âges.

    À chaque fois que je visite cette station, j’y rencontre des snow-scoot! À force d’en apercevoir, je me dis que j’aimerais essayer ça bientôt puisque ça semble plaisant comme moyen de glisse.

    Mon coup de coeur de la journée fut la piste Saint-Odilon qui a été laissée sur neige naturelle. Cette piste offre un terrain varié incluant quelques défis dont une section étroite et pentue.

    Par hasard, nous avons rencontré une famille que nous connaissons! Nous leur avons fait découvrir quelques endroits intéressants dont les sous-bois de l’érablière et des dinosaures.

    Les patrouilleurs savent où trouver de la poudreuse! La chance!

    Le Mont Orignal peut compter sur un spacieux chalet particulièrement bien aménagé. L’offre alimentaire est variée, incluant un bar à poutine et un menu du jour complet incluant le breuvage à moins de 20$, taxes incluses.

    Voici ma conjointe qui, tout comme moi, a adoré sa visite au Mont Orignal!

    En images: Ski La Réserve, 1er mars 2025

    Confirmé: c’était de la bien belle poudreuse, parfois profonde, qui nous attendait aujourd’hui à la Réserve! La station a reçu 10-15cm de neige nouvelle la nuit dernière, de sorte que ce manteau blanc a recouvert le mauvais souvenir du redoux de la semaine dernière. À vrai dire, le dernier regel a même eu un effet positif: quand on touche le fond, c’est de la glace et non des roches donc il est permis d’y aller allègrement à pleine vitesse, sans trop être sur nos gardes.

    Sous sous-bois.

    L’entièreté du domaine skiable était évidemment accessible, y compris toutes les pistes extrêmes, signature de la Réserve. La base naturelle commence même à être assez épaisse pour que les lignes les plus agressives puissent être empruntées. Parfois, ce sont des sauts de 3-4m et à l’atterrissage, ça fait simplement pouf!

    Éric sautant un rocher dans la Chute Libre.

    Nous avons visité l’entièreté du domaine skiable sur neige naturelle, les descentes se sont enchainées dans ce terrain extrême qui l’était peut-être un peu moins vu l’accumulation de neige.

    Votre humble zoneskieur dans la Pirouette (haut).
    Sous-bois Vertige.

    Que dire de l’achalandage? Nul dès que les deux remonte-pentes ont été mis en opération!

    Sous-bois Lavoie.

    Profitez-en si vous le pouvez en cette semaine de relâche scolaire! Bon ski!

    En images: Belle Neige, 1er mars 2025

    Quelle belle journée aujourd’hui à Belle Neige. À mon réveil, au moins 15 cm de neige poudreuse était tombée et la tempête continuait de plus belle.

    Je me suis donc dirigé dans les pistes dotées de neige naturelle et non-travaillées. Un champ de poudreuse m’y attendait, les virages étaient légers, les conditions optimales et le fond très mou.

    Aucune trace du dernier redoux sur les pistes. On entendait les cris de joie provenant des skieurs profitant de cet or blanc.

    Même les plus jeunes s’y amusaient, malgré la profondeur de la neige qui rendait les descentes plus ardues pour eux.

    Certaines pistes avaient été damées durant la nuit, laissant seulement une couche de neige fraîche. Parfait pour ceux aimant moins la grosse neige profonde. Ces pistes se sont par contre tapées rapidement et les amoncellements de neige sont aussitôt apparus.

    Grâce à la diversité des pistes, nous avons pu quitter les pistes qui étaient rendues bossues et aller s’amuser dans la piste de bordercross. Une belle réussite de Belle Neige qui revient depuis quelques années.

    En après-midi, lorsque la majorité de la neige poudreuse a été tapée par le passage répété des skieurs, j’ai pu finir ma journée dans le parc à neige. Belle Neige est définitivement une station qui offre une variété de terrain incroyable pouvant répondre aux besoins de tous.

    En images: Mont Rigaud, 1er mars 2025

    Skier de la poudreuse à Mont Rigaud? Oh que oui! Il suffit d’arriver tôt pour profiter du savoir-faire de l’équipe de damage qui sait conserver des pistes, en sections ou complètes, dans leur état naturel. Bien entendu, le damage a lieu sur plusieurs autres pistes. De plus, le statut de « petite » station confère à Mont Rigaud un degré de réserve qui garde les hordes de skieurs loin d’ici. Sur la photo, non ce n’est pas une fille de 6 pieds qui a de la neige jusqu’aux épaules. C’est un ti-gars de 6 ans qui vient de se planter entre deux bosses!

    Alors que la neige persiste en matinée (en plus de la douzaine déjà accumulée), les jeunes profitent du dernier cours de la saison afin d’explorer des pistes qu’ils n’ont pas eu la permission de dévaler avant aujourd’hui. Poudreuse et bref épisode de grésil en prime!

    Les certificats de succès sont remis aux élèves de l’école de glisse. Les spectateurs sont au rendez-vous.

    De toute la matinée, seule une poignée de skieurs se prévalent de la solitude et de la beauté des sentiers d’ascension. La neige y est abondante et les obstacles potentiels parfaitement recouverts. On aimerait bien redescendre entre les arbres, mais la trop faible pente ne le permet pas.

    La poudreuse fraîche constitue tout un défi pour la relève, qui s’en tire par ailleurs très bien. Et il n’y a pas que la relève qui est mise au défi: plusieurs visiteurs adultes ne la trouvent pas drôle! Pourtant, quoi de plus beau?!

    Une fois la dernière leçon de glisse terminée, les enfants sont libres de skier en famille. Les bords de piste demeurent presque intacts jusque tard en journée, si bien qu’on continue de faire ses propres traces. Dans les pistes non damées, des bosses molles continuent de se former au cours de la journée. Et on « trace » encore longtemps.

    Subitement, le vent se lève autour de 11h00. Le ciel tente de se dégager, ce qu’il réussit partiellement. La température se stabilise et arrête sa montée; non, la neige ne deviendra pas collante. C’est jour de poudreuse sèche et ça le demeurera. La neige quitte les arbres en voiles horizontaux et en arabesques frivoles. La poésie hivernale se manifeste.

    La nouvelle remontée quadruple joue bien son rôle; les files d’attente sont réduites à presque rien. Donnant principalement accès à des pistes de niveau expert et intermédiaire, la nouvelle remontée reçoit moins de visiteurs que l’autre; zéro attente. Et fini le « pôlage » entre le débarcadère et la Falaise, qui voit maintenant son tracé un peu plus fréquenté!

    En images : Mont-Sainte-Anne, 1er mars 2025

    Vital Roy

    On en veut encore des tempêtes froides ! Les nombreux « clippers » en février et celui de la nuit dernière tapissent les pentes d’une poudreuse légère facile à skier. Un charme ! « Presque du champagne! » oseront dire certaines personnes.

    Ce n’était pas difficile de trouver de la neige aujourd’hui. Elle était partout ! Dans les petits et gros sous-bois ou sur toutes les pentes.

    Entrée de la Schnell
    La Schnell

    Enfin, la Forêt noire est skiable de haut en bas sans devoir se méfier des pièges. Souvent venté, ce secteur ce matin était bien rempli de neige fraîche. Alors que le sous-bois Vital Roy, plus facile, apportait beaucoup de bonheur, peu importe le niveau de ski. De la neige, il y en avait.

    Vital Roy

    Joie! Le t-bar Corde raide est ouvert. C’est exceptionnel, alors merci au MSA de nous donner accès au Versant ouest ce matin.

    Versant ouest accessible.
    Merci ! La Corde raide est ouverte !

    Pour le ski dans les pentes, c’est à l’ouest que ça se passait ce matin ! Alors que la Crête et la Beauregard offrent le combo bosses-fond durci…

    La Crête.

    L’Anore était sublime ! On ne touchait pas le fond !

    L’Anore

    D’autres s’amusent sur le bord de la piste tout de même !

    La neige est partout !

    La Nipivik, accessible seulement si la Corde raide est ouverte, était aussi fantastique et généreuse ! Alors que le début de l’Amaroq, sur la moitié de sa largeur n’était pas skiable, vite elle est devenue aussi belle que ses consoeurs de l’ouest.

    Le Mont-Sainte-Anne annonçait 10 cm ce matin et une prévision de 14 cm pour les prochains 24h. Notre sentiment ? Ça ressemblait beaucoup plus à un beau 20 cm et il a neigé toute la journée ! Demain, ce sera plus froid, mais le soleil se pointera le bout du nez. De bonnes rafales de vent sont aussi annoncées, alors surveillez si les télécabines seront en ouverture graduelle… On n’est jamais trop prudent !

    En images: Tremblant, 27 février

    Tremblant est dans une classe à part. Ce matin, cette exceptionalité est sublime. Il y a une abondance de neige telle qu’on n’en a pas vu depuis longtemps. Un paradis blanc!

    Attiré par les sous-bois tôt en matinée, j’en profite avant que ne débutent les averses de neige. La visibilité y perd au change dès les premiers flocons, vers 11h00. Au loin, les voiles de neige opaques dansent lentement vers nous. Au moment où on fait partie du bal, le gris domine et on distingue mal le sol du ciel.

    Au débarcadère de la télécabine Express, les premiers visiteurs de la journée jouissent d’une belle lumière. Les vacanciers Ontariens et Américains sont nombreux. Il n’y a pas de meilleur endroit pour pratiquer son anglais!

    Les averses de neige s’installent rapidement. Comme les surfaces sont déjà très dures, voire glacées, il nous faut être très vigilant afin de bien distinguer les défis au sol. Et tout autour de soi; il y a beaucoup de novices sur les pentes.

    Du sommet du versant The Edge, protégé du vent et avec très peu de visiteurs, le choix de pistes est limité. Il s’agit d’un domaine relativement petit comparé au reste de la station, mais offrant des défis de taille avec un dénivelé fort respectable. Plusieurs des sous-bois y sont de calibre double diamant. Trois d’entre eux sont de calibre intermédiaire, répartis sur une large étendue forestière. Magnifique! Et soyez sans crainte, vous aurez amplement le temps de reposer vos jambes durant la (lente) remontée!

    L’abondance de neige est étonnante dans les secteurs les moins ventés de la montagne. Ici, le sommet de The Edge. Seul et alors que règne un calme d’outre-tombe, je n’entends que le chant des mésanges. Dans quelques minutes, je serai de retour pami les nombreux visiteurs sur le versant Nord. Bye-bye quiétude!

    Je termine ma journée en retournant au village, sur le versant Sud. Le village est accueillant et de nombreux touristes, skieurs/planchistes ou pas, y déambulent lentement. Le charme de Tremblant opère encore et toujours. Par chance, car cette dernière descente dans l’autoroute de la Johannsen est tout sauf agréable: la pente est lisse comme un miroir. Mais, hey, quelle journée de ski j’ai eu!

    En images: Sommet St-Sauveur, 26 février

    La semaine de relâche de la région des Laurentides avait débuté avec de la pluie. Cependant, aujourd’hui le soleil fait son retour de façon glorieuse. Bien entendu, qui dit dégagement dit aussi baisse de la température. À -2 degrés, personne ne se plaindra d’avoir froid.

    C’est vrai que le soleil est bon et que la température est douce, pourtant les surfaces ne sont plus tendres. Dès 10:30, on skie sur du ferme et du très ferme. Les dérapages sont légion, tandis que le son des skis sur ces surfaces témoigne de ce à quoi on a affaire.

    Des carres affûtées et de la graisse de jambe sont de rigueur. La glisse est très rapide. En témoigne, la multitude de jeunes en congé scolaire qui dévalent les pistes à vitesse grand V et sans retenue. Sur la photo, contrôle et technique sont un gage de carving sans danger pour quiconque!

    La splendide vallée de St-Sauveur est à son meilleur après les tempêtes de la semaine dernière.

    Les sous-bois ont été abondamment skié depuis une semaine. Malgré cela, ils demeurent encore tout à fait fréquentables bien que la neige transformée après le regel de la nuit dernière soit un peu moins accueillante. Crounch, crounch… mais pas de glace ni d’obstacles surprises.

    Alors que les surfaces deviennent rapidement moins invitantes, le soleil et le foyer central accueillent ceux parmi nous qui ont envie de renouer avec la bienfaisante sensation du printemps. En résumé, une abondance de neige qui promet une longue saison (on est à « St-Sau » après tout!) et des surfaces rapides qui feront ou déferont votre style en descente!

    En images: Centre Vorlage, 24 février 2025

    Un lundi matin paisible au Centre Vorlage, dans le village de Wakefield. Les trois télésièges tournent, toutes les pistes sont ouvertes… mais les skieurs brillent par leur absence.

    Il est 10h00, et les remontées tournent depuis 9h30, pourtant, je ne suis que la onzième voiture dans le stationnement. L’endroit est désert. J’ai presque l’impression que le centre de ski n’a ouvert que pour moi. La sensation est étrange… Les conditions sont parfaites : -2°C à mon arrivée et toutes les pistes impeccablement enneigées grâce aux deux récentes tempêtes qui ont frappé l’Outaouais.

    Snow Dance… la piste parfaite pour bien commencer la journée. Impeccablement damée, elle offre une belle largeur et épouse harmonieusement le relief naturel. Bien que courte, elle permet aux skieurs de tous niveaux de descendre ensemble et de profiter pleinement du moment. Ce matin, elle est toute à moi!

    Vue sur le secteur des débutants depuis la piste Chien Chaud.

    Sous-bois #29, tel qu’indiqué sur la carte des pistes. Plusieurs options de descente s’offrent aux skieurs dans cette zone. La photo illustre parfaitement le manteau de neige naturelle recouvrant la forêt.

    La Chute, une piste courte mais abrupte, qui plonge sous le télésiège principal.

    Cream Puff, la piste incontournable pour les adeptes du parc à neige. En semaine, elle est déserte.

    La piste Arcade offre une belle pente douce, mais laissée à l’état naturel avec de petites bosses, idéale pour une expérience de glisse différente.

    Vorlage me rappelle le centre de ski Vallée Bleue, un véritable voyage dans le temps, comme si l’on retournait 40 ou 50 ans en arrière. Seul le chalet moderne trahit l’époque actuelle. Skier presque seul ici n’a pas de prix. Les seuls sons qui résonnent sont ceux des moteurs des remontées mécaniques.

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