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    En images: Le Relais, 8 février 2025

    En ce beau début de fin de semaine spéciale de notre party d’hiver avec mes collègues de travail, nous avons choisi de venir skier au Relais.

    Dans “La Dorothée”

    Toutes les pentes sont ouvertes, les descentes sont rapides sur fond durcis et damé.

    Malgré la pancarte, le sous-bois était superbe

    Mon coup de coeur est “Le petit Sous-bois” qui sort sur la familiale style pumptrack “La Dorothée” qui nous permet de finir notre descente tout en douceur.

    Voilà tout au fond vers la gauche vous aurez de l’or blanc!

    Dans celui-ci, nous avons découvert quelques espaces bien enneigés et moelleux en collant la gauche mais attention les planchistes c’est au ralenti… Un peu d’aide d’une skieuse avec bâtons a été de mise!

    Mais, qu’ont-ils à me faire une pose de la sorte? Ça va bien les gars?

    L’heure du dîner nous donne accès à des pistes moins populeuses. Elle nous permet aussi de profiter encore plus du moment.

    Une petite partie de nous!

    Le Relais nous a permis de passer un beau moment entre collègues de travail et ainsi apposer un velours sur ma solitude habituelle en montagne.

    Sam qui s’amuse!

    Je vous laisse avec cette petite figure stylisée de mon collègue dans la pumptrack!

    En images: Sommet Olympia, 7 février

    C’est environ une douzaine de centimètres de neige qui est tombée durant la journée et la soirée d’hier. Le résultat est des plus satisfaisants ce matin à Sommet Olympia. Bien que damées (on aurait bien aimé se taper de la poudreuse!), les pistes sont sublimes en matinée. Elles demeurent en très bon état tout au long de la journée. Tout au plus trouve-t-on des plaques dures dans les deux pistes raides du versant L’Aiguille (une noire et l’autre, une double noire) en après-midi.

    Les sous-bois sont recommandables et fréquentables! Aucune mauvaise surprise de ce côté.

    Au départ de la Baqueira-Beret (verte), il faut s’assurer de prendre un vigoureux élan; le vent très vif et soutenu ralentit nos ardeurs dès qu’on quitte la remontée mécanique. Tout près, la St-Anton demeure fermée faute d’une couverture neigeuse adéquate. C’est dommage.

    Au sommet de l’Aiguille de Piedmont, le vent souffle avec force. La piste elle-même est très lisse et très dure.

    Au loin, on voit des blizzards se former et disparaître tout aussi vite. Le soleil et le couvert nuageux sombre se disputent au dessus de Sommet Olympia. Le soleil ne réussit pas souvent à prendre sa place. Entre les vents forts et l’humidité qui prévaut, la température ressentie est bien plus froide que ce qu’affiche le thermomètre.

    En quête de chaleur ou de réconfort, le resto-bar Le Kozak est tout indiqué. Pour ceux et celles qui ont apporté leur boîte à lunch, le sous-sol du même bâtiment est accueillant et possède suffisamment de places pour accueillir tout le monde en semaine. Lors des fins de semaine, il est préférable de favoriser les heures moins fréquentées (entre 11h00 et midi, puis à partir de13h00).

    Mes trois complices et moi nous préparons à un safari de ski dans l’Ouest canadien. Avec plusieurs bonnes pentes et du terrain varié, Sommet Olympia est une bonne destination où faire nos derniers exercices techniques avant de boucler nos valises. Afin d’être certains de pouvoir durer sur les vastes domaines de l’Ouest, nous faisons beaucoup de descentes avec peu d’arrêts.

    En images : Bromont, montagne d’expériences, 7 février

    Au menu aujourd’hui, percées de soleil, température agréable et neige fraîche.

    Un 9 cm de nouvelle neige reçue nous propose une surface de poudreuse damée sur un fond ferme.

    De la belle neige poudreuse semblait couvrir le secteur du versant de la côte Ouest.

    Malgré des conditions de neige extraordinaire, un seul souci, le vent ! Nous avons donc pris la décision de skier dans les sous-bois où on a eu énormément de plaisir !

    Le domaine skiable est ouvert à 100 % et offre des pistes agréables à skier et sans glace ! Bon ski !

    En images: Sommet St-Sauveur, 6 janvier

    Pour raconter aujourd’hui, il faut d’abord parler d’hier. Le froid matinal avait été rapidement vaincu par le soleil qui n’avait d’égal que l’air sec et calme. Ce matin, l’aube laisse le soleil se profiler, mais les nuages sont prêts à prendre le flambeau afin de nous enneiger dès 10h00. L’air est lourd et humide, les flocons bloquent l’horizon. Les skieurs sourient à la vue du trésor blanc.

    Le sol et le ciel sont également blancs/gris. On n’est plus sûr des tons qui dominent. Chose certaine, par moments la visibilité est limitée alors que la surface se laisse deviner. Des lentilles ambres, rosées ou jaunes nous laissent croire que l’on sait sur quoi l’on skie…

    Les surfaces cachent quelques surprises: entre du damé ferme et des amoncellements de neige fraîchement accumulée, des plaques gelées surgissent. Peu nombreuses, il faut le dire, elles n’en sont pas moins des défis à surveiller. Ce n’est qu’en skiant dessus qu’on les découvre, car se fier à ses yeux relève d’un acte de foi! On ne dira pas que skier à Sommet St-Sauveur est ennuyant aujourd’hui!!

    Du côté de Sommet Avila, le débarcadère de la remontée principale est des plus tranquilles. En se dirigeant vers la gauche, la piste Laurentides est superbe.

    De nombreux visiteurs se rendent au café de l’atelier afin de prendre une pause. Peut-être aussi afin de permettre à leurs yeux de se refaire un “focus”, loin des conditions blancs/gris qui prévalent sur les pistes.

    Juste à côté de l’atelier, ce petit espace chaleureux est parfait pour prendre mon café de 10h30. Cependant, la neige a tôt fait de fondre sur mes cuisses; il me faut donc me lever et rapidement retourner skier. Sans regret!

    À 8h30, il ne neige pas encore. On voit donc parfaitement pourquoi tant de machinerie et d’ouvriers s’affairent à la base. Ce samedi 8 février aura lieu l’édition 2025 des Beaux 4 heures de la Fondation Martin-Matte.

    La relève se porte à merveille, sauf qu’elle ne le sait pas encore! Grand-père soigne son épaule et n’est pas peu fier de sa petite fille. Ma barbe blanche et mes goggles n’ont pas convaincu la petite que je suis un gentil chroniqueur…

    Apprivoiser les sous-bois au Massif du Sud

    Le Massif du Sud n’étant plus un secret bien gardé, je m’attendais à y voir un peu plus de skieurs et planchistes en ce beau dimanche un peu frisquet. Joie ! Avec 29 cm de neige tombée sur la montagne cette semaine, je m’y suis rendu avec l’intention de skier dans les sous-bois. Je fus agréablement surpris de découvrir une neige plutôt moelleuse non seulement en forêt, mais également dans les pistes damées qui étaient particulièrement agréables à skier aujourd’hui. Je fus également bien heureux de voir au sommet des fantômes, ces conifères bien chargés de neige.

    C’est bien meilleur quand c’est mou !

    La montagne a beau être reconnue pour ses sous-bois experts, rassurez-vous, il y en a pour tous les niveaux et tous les goûts. Le facteur le plus important pour un skieur du dimanche comme moi, ce sont les conditions de neige en forêt. Disons simplement que c’est bien meilleur quand c’est mou ! Attention toutefois : tout comme la neige durcie ou glacée, une poudreuse trop profonde accroit le niveau de difficulté. Cela requiert alors de la pratique ainsi qu’un équipement spécialisé tels des skis très larges au patin (fat) ainsi que des bâtons équipés de paniers de poudreuse. Aujourd’hui, la neige du jour est parfaite pour mes skis tout-terrains et moi!

    De la Timide à la Cathédrale

    Située au bas de la piste 9 (la Villageoise) qui a d’ailleurs été reclassée de facile à intermédiaire, je commence mon périple par la Timide (9C) qui est un sous-bois intermédiaire très accessible. Large et peu pentu, il me permet de m’échauffer puis ensuite d’accroître un peu la vitesse en toute sécurité. La neige est généreuse, je me sens bien et j’ai du plaisir ! Pour un défi supplémentaire, il est aussi possible d’entrer un peu plus haut par la Réserve (8a).

    À la deuxième descente, j’ai choisi de skier le combo la Bipolaire (9b) suivie de la Polaire (10b). Ces pistes classées avancées sont plus pentues et plus techniques tout en demeurant assez accessibles. Cela m’oblige à prendre le temps de bien lire le terrain et ainsi choisir des lignes qui feront en sorte de me garder sur mes deux skis ! Ne le dites à personne : j’ai utilisé quelques chicken pass et je suis sorti de la Bipolaire juste avant la dernière section qui est la plus ardue ! La Polaire, immensément large, assez à pic mais tout de même plus hospitalière pour un skieur intermédiaire, fut pour moi un vrai charme à skier.

    Avant d’aller dîner, j’ai pris la remontée Poma de la pente-école afin de découvrir une piste qui a piqué ma curiosité, la Sasquatch (12c). Surprise : cette piste a si peu été skiée cette année qu’il était possible d’y faire des premières traces dans une neige plutôt profonde ! Comme j’aurais aimé avoir des palettes plus larges sous les pieds ! Je me rappelle alors les conseils usuels pour skier dans la poudreuse : « Léger sur les bottes, le poids bien centré, rapprocher les pieds en gardant une bonne vitesse ». C’est plus facile à dire qu’à faire, me dis-je ! Cela dit, je m’amuse en me disant que même si je chute, je ne risque pas de me faire bien mal avec toute cette neige très molle.

    Me voici rendu à la 3e descente du sommet. Je me dirige vers le secteur ouest de la montagne afin de prendre la Skinusite (17). Je recommanderais aux skieurs moins expérimentés de commencer par explorer la deuxième section (18C) qui est d’ailleurs mon coup de coeur de la journée ! C’est beau, c’est tranquille, il y a des défis mais qui jamais n’excèdent mes capacités. D’ailleurs, je n’y ai aperçu qu’un seul skieur !

    À la 4e descente, je me dirige vers le réputé secteur expert de la station afin d’y emprunter une piste qui représente pour moi à la fois le meilleur et le pire : le mythique sous-bois la Cathédrale (8). Il s’agit d’ailleurs du plus long de la station. Le meilleur : c’est le doux début très progressif avec de magnifiques épinettes que la nature a planté avec goût. Cette section représente pour moi une extase visuelle doublée d’un sentiment de liberté. Maintenant le pire : c’est lorsque le terrain devient très penché, pentu et beaucoup moins hospitalier. Il faut non seulement prendre garde au ruisseau, mais aussi à ne pas tomber sur ce terrain passablement accidenté. N’étant justement pas un expert et désirant finir la journée sur une bonne note, je décide de prendre la sortie située environ à la mi-montagne.

    Paysages vertigineux une bonne table

    Le Massif du Sud, ce n’est pas seulement des sous-bois. C’est aussi une nature sauvage, des pistes damées à rendre jalouses les stations avoisinantes, un parc à neige, des paysages vertigineux ainsi qu’une table incluant un menu du jour réconfortant qui goûte un peu comme chez notre mère !

    En terminant, j’aimerais mentionner la création d’un nouveau secteur hors-piste de niveau expert nommé la 5e dimension. Il est situé à droite sur la carte des pistes. Ayant déjà fait de la randonnée pédestre dans le secteur, je me doute que cela doit permettre des descentes pas piquées des vers… D’ici à ce que je me sente assez confiant pour y mettre les palettes, je vais continuer à m’exercer dans les sous-bois plus accessibles tels ceux mentionnés ci-haut. Le Massif du Sud, beau et neigeux comme présentement, impressionne. Bon ski !

    En images: Mont Orford, 2 février 2025

    Le versant principal du mont Orford

    L’hiver bat son plein cette année au Québec, et la région des Cantons-de-l’Est est l’une des plus privilégiées, avec de nombreuses chutes de neige en janvier et, surtout, aucune période de dégel, ce qui est de plus en plus rare pour le sud du Québec.

    Paysage d’hiver incroyable au sommet du mont Orford

    À mon arrivée à la station, le mercure indiquait -16 degrés, mais selon des habitués de l’endroit, la température était beaucoup plus tolérable que la veille, où le vent et l’humidité rendaient l’air glacial et peu agréable pour les skieurs. La remontée hybride avec la télécabine était beaucoup plus appropriée en cette journée. Même si nous avons emprunté à quelques reprises les remontées quadruples des versants du mont Giroux, le froid est resté très tolérable.

    Moi même en action dans la piste Intrépide

    Les pistes à neige naturelle ainsi que les sous-bois étaient quelque peu durcis en matinée en raison de la nuit précédente, qui avait été très froide. Cependant, plus la journée avançait, plus la surface devenait molle ! Les conditions étaient superbes sur l’ensemble du domaine skiable. Toutefois, il fallait être vigilant dans les pistes à neige naturelle et les sous-bois, où, à certains endroits, la base de neige était limitée en raison des nombreux passages de skieurs.

    Max en action dans la piste Contour

    Le Mont Orford offrait aujourd’hui 100 % de son domaine skiable, avec toutes ses remontées mécaniques en service, à l’exception du vétuste Rapido ! Comme mentionné plus haut, les conditions étaient excellentes, et même dans les endroits très achalandés, il n’y avait pratiquement aucune plaque de glace. L’attente aux remontées mécaniques était presque inexistante, sûrement en raison de la température froide qui a découragé certains adeptes de la glisse.

    Sous-bois Loyd Langlois sur le versant Giroux

    Les sous-bois extrêmes du versant Giroux nous ont quelque peu laissés sur notre appétit. La base de neige était assez durcie, car très peu de skieurs s’y aventuraient, et il manque encore de neige pour bien couvrir les nombreux obstacles naturels de ces sous-bois.

    Dans le haut de la piste Contour avec une magnifique vu sur le mont Giroux

    Lors d’une remontée avec un employé bien informé du Mont Orford, celui-ci m’a mentionné que le chalet de ski principal sera entièrement rénové durant la saison morte. Il date de la fin des années 80, époque où d’importants investissements avaient été injectés dans la montagne. Déjà depuis quelques années, la station a investi beaucoup d’argent dans un nouveau et magnifique service à la clientèle, ainsi que dans une nouvelle salle à manger pour les lunchs et pour se changer.

    En action dans le sous-bois Petit Canyon

    Ce fut une autre belle et excellente journée hivernale au Mont Orford aujourd’hui! Malgré un mercure peu élevé, nous avons trouvé le moyen de rester au chaud en skiant les nombreux sous-bois extrêmes qu’offre cette magnifique montagne. Une visite à Orford est un incontournable pour tout skieur, car cette grande montagne a tout pour plaire, tant aux débutants qu’aux experts !

    Venez la skier, et vous serez comblés!

    En images : Bromont, montagne d’expériences, 2 février

    Le froid des derniers jours n’a pas laissé place à de nouvelles accumulations de neige. Ce n’est toutefois pas un problème puisque l’équipe d’entretien des pistes avait fait des réserves en compactant les dernières bordées. Ce qui fait en sorte que le domaine skiable est ouvert à 100 %. La totalité des remontées mécaniques est également en opérations.

    Les « beep beep » des dameuses indiquent que bientôt le « feeling » d’un bon « carving » sur du corduroy sera bientôt disponible. Elles font un travail exceptionnel !

    À la fin d’une descente, j’ai même entendu un enfant dire :  « wow! Papa, est-ce que c’est moi ou elle était vraiment « cool » la piste ? ». Ce qui me confirmait que l’excellence des travailleurs de neige était appréciée de tous les âges !

    Pour les conditions de glisse, nous avons une base durcie et une surface de neige travaillée mécaniquement. Ce qui nous donne d’excellentes conditions de « carving ». Il n’y avait presque pas de plaques de glace.

    La température s’est réchauffée en après-midi ce qui nous a donné quelques descentes supplémentaires.

    Je dois avouer que je m’attendais à plus d’achalandage aux remontées mécaniques pour un dimanche. À ma grande surprise, l’accès aux pistes se faisait de façon très fluide !

    Encore une fois, ce fut une autre belle sortie de ski. Ma fille et moi avons adoré !

    Bon ski !

    En images: Mont Lac-Vert, 2 février 2025

    Ma fille dans la familiale

    Depuis quelques jours, pour ne pas dire quelques semaines, le Saguenay subit un froid extrême qui ne veut pas lâcher prise, mais ça ne décourage pas les skieurs de se retrouver sur les pentes. On peut dire qu’enfin les cours d’eau ont finit par geler.

    La Gaillarde monopolisée par la compétition

    Malgré le froid sibérien, une compétition de ski de vitesse bat son plein dans la 9.

    Une petite descente avant le dîner !

    Ça grouille ici ! Les pistes sont remplies de jeunes qui sont ici pour la compétition. Mais malgré tout, ça roule bien pour remonter dans le télésiège.

    Aujourd’hui, je suis avec ma grande fille !

    Petite anecdote de notre journée, pendant sa première descente, elle me crie qu’elle a mal à la cheville et que ce n’est pas normal… À suivre…

    Découragée de l’erreur de sa mom !

    Rendu en bas on vérifie ce qu’il se passe et on constate donc qu’elle se retrouve avec les fixations à l’envers sur sa planche ! Hé oui, j’avais installé ses fixes l’an passé et on a constaté seulement aujourd’hui qu’elle avait le pied gauche dans la fixation de droite et vice-versa ! Bravo maman, elle va s’en souvenir longtemps de celle-là ma cocotte !

    Passer du temps avec mon ados dans la familiale

    Le Mont Lac-Vert est une très belle montagne pour apprendre à skier et à faire de la planche à neige. Venez y faire un tour !

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    En images: Belle-Neige, 31 janvier

    Belle-Neige n’aurait pas pu être mieux nommée. Une douzaine de centimètres de nouvelle, et parfaite, neige est tombée durant la nuit. En prime, le damage a été complété avant qu’elle n’atterrisse sur les pistes! Pas besoin d’un dessin pour comprendre ce qui nous attend à notre arrivée à 8h30. Nous avons une journée de glisse sublime!

    Heureux comme des p’tits fous, les skieurs et planchistes flottent sur la couverture neigeuse. Derrière eux, des volutes montent et redescendent lentement. L’air est pur et pas froid du tout. La totale! L’autoroute pour nous rendre à la station avait tout ce qu’il y a de plus… cochon. Pas de neige en surface, mais des litres de crachin salé proportionnels à la quantité de lave-glace requise pour voir où on va.

    La cloche rassembleuse de l’école de glisse retentit plusieurs fois. Le temps calme et doux est particulièrement favorable aux novices. Les conditions de neige, quant à elles, pardonnent les chutes: personne ne va se décourager en tombant dans cette neige molle. S’en relever, par contre…

    Un tracé de slalom est aménagé pour des coureuses de l’équipe de compétition. À l’entraînement, les trois jeunes femmes ont hâte de compacter la neige nouvellement tombée afin d’atteindre des vitesses de descente dignes de leur calibre!

    Ayant un compagnon de télémark en la personne d’Andy, j’adore les descentes dans cette poudreuse. En après-midi, je monte sur mon équipement de ski alpin afin de donner un répit à ma jambe de titane. La glisse est encore parfaite même si on ne fait plus de nouvelles traces.

    Plusieurs groupes d’adolescents s’initient au ski. Tentant de remonter une courte distance sur une piste facile, ça respire et expire fort; monter avec les skis perpendiculaires à la ligne de pente est clairement le plus gros effort du jour. Et ça rit pas mal fort aussi.

    La relève a ses priorités. Se rouler dans la neige est certainement l’une d’elles. Le ski peut attendre.

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