En images: Mont Blanc, 18 décembre

En images: Sommet Edelweiss, 18 décembre 2024

Un mercredi gris, doux, mais surtout très, très, tranquille à Sommet Edelweiss. Nous sommes presque seuls à la montagne. Comptez environ deux ou trois personnes seulement à toutes les cinq ou six chaises.

Ici dans la piste Chemin des Bois, habituellement une des plus achalandées de la station. La neige est tendre, les virages sont faciles, on peut prendre toute la largeur de la piste et augmenter nos rayons.

Dans la piste Easy Street, l’une des deux seules pistes ouvertes aujourd’hui, en plus de l’espace d’apprentissage desservi par le tapis magique, un peu plus bas.

La tapis magique, lui aussi presque désert aujourd’hui. La journée était pourtant idéale pour venir s’initier.

Préparatifs habituels des plancheurs au sommet.

En bordure de la piste Chemin des Bois, un simple monticule de neige suffit à vous projeter dans les airs. Vivement le retour des températures froides pour reprendre la fabricaton de neige… les canons sont installés et en attente dans la piste Rockstar.

La grande nouveauté à la station est l’ajout d’un tout nouveau tapis magique recouvert d’un dôme dans une deuxième aire d’initiation qui n’existait pas du tout avant. Elle est située dans une zone entre les pistes de ski (à gauche) et les pistes de glissade sur tubes (à droite). Cette nouvelle pente école est un peu plus longue et aussi un peu plus inclinée que l’autre. Un éclairage DEL a aussi été installé. Très hâte de venir l’essayer lorsqu’elle sera ouverte!
Un beau cadeau de Noël de 100 M$ pour le Mont-Sainte-Anne
Le gouvernement du Québec annonce un investissement de 50 M$ pour la modernisation de la station Mont-Sainte-Anne. De son côté, la station annonce un investissement de 50 M$ pour un total de 100 m$. Au-delà des chiffres, voici ce que ça veut dire pour la clientèle pour les cinq prochaines années.
De nouvelles remontées mécaniques. La télécabine sera remplacée, ainsi que l’Express du Nord (quadruple débrayable), l’Express du Sud (le quadruple débrayable avec bulles) et la Tortue (quadruple fixe).
Maxime Cretin, vice-président et directeur général, région de l’Est, de Resorts of the Canadian Rockies (RCR) a présenté les faits saillants du Plan Montagne.
• Installation de nouvelles remontées mécaniques ultra-modernes sur l’ensemble du domaine skiable;
• Modernisation du système d’enneigement, permettant l’augmentation de la production de neige de 30 % afin d’allonger la saison des sports de glisse, tout en réduisant de 30 % la consommation d’énergie;
• Réaménagement majeur de la base et du sommet incluant la construction de nouveaux bâtiments architecturalement intégrés au milieu offrant des espaces et des services innovants;
• Implantation d’une luge alpine sur rail pour bonifier l’offre estivale;
• Bonification des activités de plein air hivernales et estivales notamment le ski de fond, la randonnée alpine, le vélo de montagne, la randonnée pédestre et la course à pied.
M. Cretin a mentionné que c’était une journée historique ajoutant que cinq ans c’est très court. On pourrait faire le remplacement des quatre remontées en simultanée. Quand on lui a demandé combien de temps ça pourrait prendre, il a répondu que à partir du moment où la commande est passée, on doit mettre entre 18 à 24 mois pour compléter le tout.
Le ministre responsable des Infrastructures et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Jonatan Julien a tenu à rassurer la population car ils suivront de près la réalisation des projets.
Yvon Charest, président des Amis du Mont-Sainte-Anne a toutefois été critique, montrant de l’incrédulité sur la réalisation du projet. Selon lui, il faudrait le double de la somme annoncée pour refaire les remontées à neuf.
Ce n’est pas la première fois que RCR annonce de gros projets d’investissements. Souhaitons que cette fois soit la bonne.
Joyeux Noël en avance!
Sources:
En images: Owl’s Head, 16 décembre 2024

Comme Owl’s Head est l’une de mes stations de ski chouchou au Québec, je suis parti de Victoriaville tôt ce matin pour aller lui faire un p’tit coucou. Quelle magnifique montagne avec ses prises de vue exceptionnelles. Je ne me tanne jamais de la sillonner de haut en bas, jusqu’à ce que les quadriceps m’interpellent ou que l’estomac crie famine.

Au début de la journée, c’était nuageux et l’éclairage était plus ou moins évident. C’était plutôt ce que l’on nomme « flat light ». J’avoue que mes premières descentes étaient teintées de retenue. Les surfaces étaient légèrement durcies à plusieurs endroits et jauger le terrain visuellement devient doublement capital. Je me suis résolu à porter mes lunettes de vue sous celles de ski, et tout est rentré dans l’ordre.

Douze pistes sur cinquante étaient accessibles aujourd’hui, et quatre remontées sur six étaient en opération, incluant le tapis magique et la petite chaise près du chalet (La familiale). Chapeau à l’équipe d’Owl’s Head qui a mis le paquet encore cette année afin d’offrir le plus de choix possible aux skieurs de tous les calibres. En effet, enneiger une piste telle que la « Colorado » est un défi colossal, car l’inclinaison de celle-ci est impressionnante et la couverture est parfaite !


La piste « Lilly’s Leap » renommée pour ces magnifiques points de vue sur le lac Memphrémagog est certainement la plus appréciée et skiée de la station. Elle tourne à gauche puis à droite, sans arrêt, jusqu’en bas, dans des corridors pas si larges, ce qui donne une impression de skier dans un genre de spirale. C’est trippant !!

En cette période de l’année, le soleil est bas et la montagne, Owl’s Head, est face au nord. Pour cette raison, il est primordial de porter des lunettes de ski assez claires même lorsque c’est ensoleillé. On passe régulièrement de sections ombragées à des sections très éclairées. Avec des verres sombres, ça peut facilement devenir problématique.


Aujourd’hui, le nombre de skieurs était faible, comme c’est souvent le cas en semaine à Owl’s Head. C’est l’endroit idéal pour skier calmement et de ne pas attendre aux remontées mécaniques.

Selon un employé de la station qui travaille à l’enneigement, les pistes à ouvrir prochainement devraient être celles qui sont à droite de la chaise du Sommet, dont la « Centennial ».

En résumé, si vous recherchez une montagne pour vous en mettre plein la vue, pour relaxer, pour enfiler des tonnes de descentes, ou pour rencontrer des gens sympathiques, Owl’s Head est l’endroit idéal.
Psst… Si vous ne possédez pas déjà un abonnement de saison à cette station, la carte multi-visites ECHO peut vous faire économiser jusqu’à 40% sur le prix des billets journaliers.
Aussi, pour les sorties en famille pendant les vacances de Noël, Owl’S Head vous offre le « Forfait Famille des Fêtes » à prix très avantageux.
Bon ski !
Ski hors-piste au Japon: Au delà de la légendaire neige
Bucket list: Cette fameuse liste des projets que l’on souhaite réaliser avant sa mort. Sur la mienne se trouvait le souhait de skier en hors-piste au Japon. Voici le récit nippon d’un voeu que je peux maintenant cocher sur ma liste.
Sumimasen
Chaussé de mes bottes de ski et fatigué d’une longue journée de ski de poudreuse entre les arbres, je trébuche sur la dernière marche dans l’entrée de l’hôtel. Devant moi, la jeune employée en uniforme parfaitement repassé et immaculé s’immobilise et s’incline respectueusement: “Sumimasen” dit-elle de sa voix délicate. Elle s’excuse de m’avoir embarrassé en étant témoin de MA maladresse…Bienvenue au Japon, terre de toutes les politesses. Et destination de ski mythique.
Loin des foules, près du bonheur
Un de nos deux guides nous prévient dès notre première rencontre dans le hall de l’hôtel, à Aomori (dans la préfecture du même nom tout au nord de Honshu, l’ile principale de l’archipel nippon): « Il y a peu de gaijins (étrangers) dans cette région ». Et Pat d’ajouter, avec un accent Kiwi qui requiert toute mon attention: « Et c’est sans compter l’absence même de Japonais dans les secteurs hors-pistes, Mate! » En d’autres mots, toute la neige, et Dieu qu’il y en a, sera pour nous seuls.
Intense décalage horaire oblige, je me réveille à 2h00 du matin. Pas grave, me dis-je. Ça va être malade, ce ski dans les sous-bois! Je me lève du futon, marche sur le tatami et ouvre le rideau de soie. Dans la nuit noire de la région de Tohoku, il pleut… Enfer et damnation! Démoralisé, je dois quand même me présenter à la salle à manger à 6h30 pour faire le plein de calories et de protéines, dont quantité d’origine inconnue et presque impossible à identifier. Et parfois aux arômes étonnants…
Menu quotidien
Départ en mini-bus à 7h30 avec nos skis bien attachés sur le toit de la van. Destination Appi Kogen, la magnifique. Nous sommes six clients (dont cinq Australiens) et deux guides Néo-Zélandais. La stratégie est simple: nous accédons à l’arrière-pays grâce aux remontées mécaniques, mais nous skions en hors-piste (slackcountry ou sidecountry) avec tous les risques et les interdictions associés à cette pratique. Beau plan, sauf que la pluie de la nuit dernière a trop imbibé la neige en hors-piste pour que nous puissions y skier. Alors aujourd’hui, en piste nous skions. La formation de base sur l’utilisation du matériel d’avalanche est remise à demain. Les pistes sont de véritables boulevards parfaitement damés. Elles se laissent entailler profondément par nos skis (dans mon cas, des 147-115-135 loués à l’agence australienne qui organise et guide ce voyage). La glisse est parfaite. Nous sommes presque seuls sur les pistes. Il y en a moins de 20 sur ce domaine vaste comme Tremblant. Alors que dans le métro de Tokyo il n’y a pas assez de place pour se gratter une fesse sans gratter celle du voisin en même temps, ici on peut crier au meurtre sans être entendu par qui que ce soit.
En fin de journée, nous reprenons la route vers une nouvelle station. Il neige. À l’hôtel (nous logeons dans quatre hôtels différents durant le voyage), la chaleur du onsen est appaisante. Le bain de source thermale prend son origine à même l’activité volcanique de la montagne. Moitié à l’intérieur et moitié à l’extérieur, l’onsen nous accueille nus. La petite serviette blanche sert à se couvrir… la tête pour se protéger du froid.
Les journées suivantes se déroulent parmi les arbres et sur des pentes vierges submergées de neige. Il neige pratiquement à chaque nuit. Je me félicite d’avoir loué des skis de poudreuse très larges. En plus de ne pas avoir à les transporter (pensez au métro tokyoïte à l’heure de pointe…), ils sont superbement adaptés aux conditions neigeuses locales. Le terrain est habituellement constitué de pentes raisonnables, parfois intimidantes et quelques fois terrifiantes! À part les nôtres, aucune trace ne témoigne du passage d’autres skieurs. L’espace entre les arbres varie beaucoup, de très étroit à très ouvert. Nous explorons pentes, couloirs, falaises (« Celles-là, je vous les laisse les gars… ») et champs de neige ouverts et paradisiaques. Même si les remontées mécaniques constituent notre principal moyen d’accéder aux sommets, nous faisons quelques ascensions en peaux de phoque vers des secteurs isolés. De façon générale, le terrain présente des défis réalistes et justifie totalement la dépense. Car il faut le dire, cette aventure coûte quand même pas mal de yens. Tant pis pour mon fonds de pension, il s’agit de ma bucket list après tout!
Les lignes de descente sont presque infinies. Il me faut attendre au troisième jour avant de devenir à l’aise dans ces domaines mythiques. On en rêve, mais quand on y est, un petit frein intérieur appelle à la modestie. Au diable, la modération; on ne vit que deux fois me plais-je à dire. J’y suis, j’en profite. C’est d’ailleurs ce que fait chaque membre du groupe. Cependant, Miky a bien failli y laisser sa peau. Lors d’une longue traversée au sommet d’une très forte pente, il perd l’équilibre dans un très étroit passage et culbute de plus en plus vite vers le ruisseau au fond du ravin. Nous sommes tous muets et impuissants. Il s’arrête brusquement dans l’eau peu profonde après avoir percuté un rocher. S’ensuit une avalanche de jurons australiens brefs, mais intenses! La Patrouille ne dessert pas cette portion de la montagne; c’est un long et pénible retour vers l’hôtel. Bilan de sa mésaventure: plusieurs ecchymoses, deux côtes fracturées, une entorse au genou droit et un casque défoncé. “Chanceux” va, le séjour de ski se termine aujourd’hui de toute façon…
En plus d’Appi Kogen, nos pérégrinations nous amènent à Shizukuishi, Tazawako, Amihari et Aomori Spring (Ajigazawa). Ces stations sont retenues par nos guides pour leur proximité commune (jamais plus de deux heures de route entre elles), de l’abondance de la neige ainsi que de la qualité des hôtels authentiquement japonais. Aucune des stations n’est de proportion alpine, ni même comparable à ce que l’on retrouve dans les Rocheuses. Le nombre de pistes y est limité (entre 7 et 25), mais les domaines skiables sont toujours énormes. Les dénivelés, quand même respectables, se situent entre 650 et 900 mètres. Avec peu ou pas de neige fabriquée, les stations des régions d’Iwate et d’Aomori comptent parmi les joyaux mondiaux de la poudreuse. Ce qu’elles n’offrent pas en night life ou en condos luxueux au pied des pentes, elles le compensent largement par du ski mémorable loin des sentiers battus. Beaucoup plus modestes que les énormes stations touristiques de classe mondiale telles que Niseko et Hakuba, les stations de ski du nord de l’ile de Honshu sont de mémorables destinations très peu connues des Occidentaux.
Mata itsu ka, Mr. Teasdale!
Dans le hall d’entrée de l’hôtel, des membres du personnel se réunissent pour saluer notre départ avec des pancartes en forme de mains géantes qu’ils agitent lentement et en souriant, toujours en s’inclinant respectueusement, leur manière de nous dire: « Sayonara! ». C’est une expression que les gaijins aiment bien, mais que les japonais utilisent peu puisque c’est littéralement « Adieu ». La culture japonaise étant ce qu’elle est, il y a de nombreuses façons de dire « au revoir » selon les circonstances et les personnes à qui s’adresse la salutation. Heureux d’avoir appris mon nom, le portier s’incline. J’ai bien essayé de me faire appeler Patrick, au lieu de Mister Teasdale. Rien n’y fait; l’étiquette ne le permet pas.
J’ai adoré le Japon. Au delà de la légendaire neige nippone, ma virée est autant une expérience de glisse qu’une découverte humaine et culturelle. Qu’il s’agisse de la nourriture, des Japonais eux-mêmes, des emballages ultra raffinés, du système ferroviaire ou de la culture populaire (manga, J-Pop, cosplay, lolita, gyaru, etc.), le Japon m’a imprégné d’un profond respect et d’un désir de revenir au plus tôt. Demain, le Shinkansen me ramènera à Tokyo dans le plus grand confort. 700 kilomètres en 3 heures c’est juste assez de temps pour me remémorer les meilleurs moments de mon aventure japonaise. Check!
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En images: Vallée Bleue, 15 décembre

En images: Mont Édouard, 15 décembre 2024

Le Mont Édouard est situé dans la magnifique municipalité de l’Anse St-Jean au Saguenay. La station a su exploiter la montagne à son plein potentiel en offrant une panoplie d’activités pour combler les adeptes de plein air. Parmi ces activités hivernales disponibles, on y retrouve des pistes de ski de fond, de fat bike, de raquette, une patinoire, les pentes de glisse bien sûr et le domaine de ski haute route. D’ailleurs, la montagne est réputée pour ses sept secteurs de ski haute route avec 20 km de sentiers parsemés de 4 refuges pour un total de 1600 mètres de dénivelé.
La saison a officiellement débuté hier à la station malgré les difficultés rencontrées depuis mai dernier. D’ailleurs, le chalet a été victime d’un incendie majeur le 31 mai 2024, compromettant ainsi les activités prévues pour la prochaine saison. Les organisateurs ont très bien su s’adapter afin de répondre adéquatement aux besoins des passionnés de sports de glisse. Ils ont installé plusieurs yourtes confortables ainsi qu’un bloc sanitaire. Le service de cafétéria est maintenu avec plus d’un menu du jour. On retrouve aussi le pub chez Ed afin de satisfaire les amateurs de l’après-ski. De plus, la boutique Hors Circuits est présente pour l’entretien de vos équipements. On m’a mentionné que les installations seront présentes pour un minimum de deux ans.



Il n’est pas rare de voir des équipes de compétition de niveau provincial à la station puisque le Mont Édouard est le cinquième plus important dénivelé au Québec (450 mètres). Comme la station détient trois homologations F.I.S. dans le slalom, le slalom géant et le super géant, il accueille dès le mois de novembre des équipes de compétition, et ce, jusqu’au début mai.
Aujourd’hui la station nous offrait le remonte-pente B, ce qui donne accès seulement à la mi-montagne. Il y avait cinq pentes ouvertes en ce début de saison. Les pentes avaient été travaillées malgré la pluie des derniers jours. Le fond des pentes était ferme et la neige granuleuse nous donnant droit d’entendre les skis mordre dans les pentes.

La montagne a reçu un total de 90 cm de neige jusqu’à maintenant, dont 30 cm dans les derniers sept jours.

La station continue de travailler sur l’enneigement des pentes pour éventuellement avoir accès au sommet par le remonte-pente A.

En attente de la prochaine bordée de neige, j’ai très hâte à l’ouverture du secteur Nord-Est tant convoité qui nous offre des sous-bois exceptionnels ! Je vous souhaite une bonne glisse !

En images: Le Relais, 15 décembre 2024
La glace est brisée dans tous les sens du terme. Tout d’abord, je revenais au ski après une année de pause forcée. Le test est concluant. Puis les conditions étaient belles, quoique fermes, pour le début de saison. Les équipes d’entretien on fait un très bon travail depuis l’ouverture de la station vendredi il y a deux jours. D’ailleurs, j’en profite pour vous suggérer une bonne mise au point de vos skis. Un aiguisage et une bonne cire vont vous aider à avoir du plaisir pour l’hiver.
À ce temps-ci de l’année, les journées sont plus courtes et le soleil prend un peu de temps à éclairer les pistes le matin. La visibilité est moindre, toutefois les pistes sont sans surprises.
L’enneigement va bon train et d’ici peu, d’autres pistes seront disponibles. Les canons soufflent à gros régime avec les températures froides.
Les cours de glisse en groupes sont présents sur les pistes et le seront pendant les Fêtes. Voilà une bonne idée pour occuper les jeunes pendant ce congé. Les équipes de compétition s’entrainent fort pour les courses à venir.
La Mirador commence à recevoir les rayons du soleil en milieu de matinée. La visibilité est meilleure et ce soleil nous réchauffe lors de la remontée.
L’achalandage en ce dimanche était modéré et l’attente était minimale. Enfin, c’est le temps d’en profiter! Le redoux de la semaine dernière n’aura pas causé de dommages sur les pistes.
La bonne nouvelle pour moi et pour plusieurs autres adeptes: la soupe Thai est désormais servie tous les jours au Bistro Jack Rabbit. Pour à peine 7$ et des poussières, avec le congé de TPS, vous avez cette soupe unique servie dans un vrai bol avec couvert en métal et le petit pain. Nul besoin d’hypothéquer sa maison pour manger au Relais.
Finalement, le Relais du Lac-Beauport est fidèle à sa réputation. Tout y fonctionne bien et l’accueil est toujours aussi agréable. Les employés font la différence.
Le tarif pour un adulte en ce début de saison est à 38$ et quelques poussières pour la journée. Bien sûr ce tarif est temporaire et sera revu à la hausse dans quelques jours, alors que beaucoup plus de pistes seront disponibles. Pour ce dimanche, on annonce cinq pistes sur 33 d’ouvertes. Trois pistes partent du sommet pour aller jusqu’en bas.
BON SKI, BONNE GLISSE!
En images: Mont Orford, 15 décembre 2024

Magnifique journée hivernale aujourd’hui au Mont Orford dans la région des Cantons de l’Est. La grosse montagne nous offrais six pistes sur deux versant (Giroux et Alfred Desrochers).

Julien ici en action dans la piste Jean D’Avignon sur le versant Giroux Nord. Ce versant nous offrait trois possibilités de descente, soit les pistes Magog, Familiale et Jean d’Avignon.

Max ici dans la piste Ookpic sur le versant du mont Alfred Desrochers skiant d’excellentes conditions hivernales (base ferme sur une belle neige recyclée et surtout pratiquement aucune glace).

Le versant principal de la station n’était pas disponible aujourd’hui puisque la fabrication de neige est en cours dans les pistes Trois Ruisseaux ainsi que dans la Maxi. L’enneigement semblait pas mal complété dans ces deux pistes, on peut donc espérer une ouverture prochaine de ce versant.

Moi-même en action à partir du sommet du Mont Giroux (versant nord).

Nous avions une magnifique vue à partir du sommet du mont Giroux sur les montagnes des Cantons de l’Est ainsi que sur les grosses montagnes du Vermont!

Julien en pleine vitesse poussant à la limite ses skis Rossignols Hero dans la piste Jean D’Avignon! Malgré le peu de pistes disponibles, Orford nous a offert d’excellentes conditions de glisse sur un très bon dénivelé et sous un incroyable soleil. Le meilleur reste à venir!