Passe illimitée : 529$ au lieu de 660$ (prix adulte) – Skiez en tout temps, 7 jours sur 7, de l’ouverture à la fermeture
Passe 7 soirs : 219$ au lieu de 250$ (prix adulte) – Skiez tous les soirs de 16h jusqu’à la fermeture
Passe 5 jours : 239$ au lieu de 290$ (prix adulte) – Skiez du lundi au vendredi de l’ouverture à 17h
Passe 65+ : 259$ au lieu de 300$ (prix adulte) – 65 ans et plus. Skiez en tout temps du lundi au vendredi et de 16h à la fermeture les samedis et dimanches
Passe sur mesure – 1 jour : 159$ au lieu de 175$ – Passe 1 journée par semaine – Skiez de l’ouverture jusqu’à 16h
***Plusieurs autres types de passe et catégories d’âge sont disponibles***
POUR PLUS DE DÉTAILS ET POUR PROFITER DU RABAIS, SUIVRE CE LIEN :
Tel un patient en phase terminale maintenu en vie artificiellement, Sommet St-Sauveur refuse de rendre l’âme. Et pour cause! Le patient est plein de vie et il est encore loin d’aller retrouver son créateur. On se réjouit de cette existence prolongée, alors que les autres stations de la région ont déjà été débranchée du respirateur.
Alors qu’en plein coeur de la saison de ski on s’acharne à arriver tôt en piste afin d’avoir les meilleures conditions, au printemps on prend son temps histoire de permettre au soleil de ramollir la neige. À l’ouverture, il y a très peu de visiteurs sur les pentes. C’est vers midi que les plus enthousiastes commencent à arriver en plus grand nombre (qui est limité). Et c’est justement au moment où la neige commence à être vraiment plus difficile à maîtriser.
Signe qui ne trompe pas sur la présence du printemps: l’arrivée des motards.
Il y a bien un peu de brun par-ci, par-là, mais en général les conditions d’enneigement sont très bonnes. C’est dur à croire pour mon voisin qui m’a vu quitter la maison ce matin; il avait les yeux gros comme ça, totalement incrédule à la vue de mes skis. Il faut dire que nos pelouses sont verdissantes…
L’équivalent des petits caractères au bas d’un contrat, les mises en garde donnent l’heure juste. Toutefois, il n’y a pas lieu de s’inquiéter: nos skis ne souffrent pas des conditions. Aucune mauvaise surprise ne nous attend.
En direction de la Côte 70, beaucoup de neige!
Samedi dernier avait lieu le Slush Cup. La Cup est finie, mais la Slush demeure! À partir de maintenant, la station n’ouvrira que les fins de semaine (incluant les vendredis) et de jour seulement. Mais, hey, nous skierons sur le Glacier jusqu’au 19 mai!
Jusqu’à 114 jours de glisse fixes et 3 flottants pour utilisation en tout temps, à l’exception du:
27 au 30 décembre 2025, 17 -18 janvier et 14-15 février 2026
Jusqu’à 25 journées de fin de semaine
Plusieurs journées durant les relâches scolaires
Offert en exclusivité aux résidents canadiens
Avantages inclus avec la passe Tonik :
Gratuit/Accès printemps 2025 dès le 7 avril selon le calendrier Tonik 2-24/25
Gratuit/Passe de randonnée alpine
15% de rabais sur toutes les journées non incluses
Chaque détenteur d’une passe de ski Tonik Adulte ou Aîné 24/25 peut obtenir 8 billets amis/famille à tarif réduit.
—————————————————————————————–
NOUVEAU : PASSE MAÎTRE (80 ANS+) :
Destinée aux passionnés de 80 ans et plus, la passe Maître vous permet de profiter d’un accès illimité à la montagne toute la saison, sans aucune restriction. Pour obtenir cette passe de ski exclusive à 269 $, vous devez avoir 80 ans au moment de l’achat. Disponible uniquement en personne au Service à la clientèle.
Nouveau détenteur? Achetez maintenant et skiez dès ce printemps! En vous procurant votre passe Maître 2025/26, vous pouvez profiter de la montagne dès le 7 avril 2025.
PASSE IKON
UNE SAISON ILLIMITÉE ET SANS RESTRICTIONS À TREMBLANT!
Passe Ikon ou Passe Ikon base
Partagez le plaisir dans plus de 60 destinations à travers le monde avec la passe Ikon ou la passe Ikon Base, offrant un accès illimité à Tremblant et désormais jusqu’à 7 jours au Massif de Charlevoix!
Pour les détails et les prix concernant les différents types de “IKON PASS”, suivre ce lien :
Des avantages et rabais exclusifs lors de votre séjour à Tremblant • Jusqu’à 12 billets de ski à 25 % de rabais pour les amis et la famille • Assurance Aventure incluse • Passe de randonnée alpine incluse • Accès printanier gratuit et illimité en 2025 dès le 31 mars pour les détenteurs d’une passe Ikon et dès le 7 avril pour les détenteurs d’une passe Ikon Base
POUR PROFITER DU RABAIS ET POUR PLUS DE DÉTAILS, SUIVRE CE LIEN :
Un dimanche de Pâques à la montagne aujourd’hui pour mes amis et moi, et notre destination fut un excellent choix en cette journée ensoleillée.
Owl’s Head souligne la fête de Pâques aujourd’hui à la montagneDéfi skier en jeans pour le long week-end de la Pâques
La montagne lançait un défi aux skieurs et planchistes : pratiquer leur sport favori en jeans durant le week-end. J’ai relevé le défi pour quelques descentes, même si c’était un peu frisquet et venteux en fin de matinée.
Un peu à l’étroit dans mes jeans 😉Magnifique vue sur Jay Peak au Vermont à proximité
Owl’s Head nous offrait trois choix et demi de descentes à partir du sommet de la montagne, soit par la piste Lilly’s Leap, la Colorado ou la Centennial, qui se divisait ensuite en plusieurs autres pistes pour offrir un total de 12 pistes accessibles.
Super Dave en action dans la piste Shady Lady
Avec un mercure oscillant entre 5 et 6 degrés en matinée et un fort vent omniprésent, nous craignions que la surface de neige soit rapide et figée. Lors de notre première remontée, la piste Kamikaze, située sous le télésiège, luisait au soleil, ce qui a semé le doute. Heureusement, les pistes ouvertes avaient eu amplement le temps de ramollir, nous offrant d’excellentes conditions sur 370 mètres de dénivelé.
Max dans la piste Shady LadyJulien en action dans la longue piste Lilly’s Leap
Malgré une journée fraîche pour cette période de l’année et un fort vent, Owl’s Head nous a offert une magnifique journée de ski printanier sous un ciel bleu éclatant! La vue qu’offre cette station est tout simplement incroyable, avec le majestueux lac Memphrémagog en toile de fond — on a littéralement l’impression de s’y jeter lors de certaines descentes! La station conclura sa saison demain, lundi de Pâques, alors si vous y allez une dernière fois, n’oubliez pas vos jeans pour relever le défi! Bonne fin de saison à tous!
Aujourd’hui à Sommet Saint-Sauveur avait lieu le Slush Cup. Une course en duel sur un parcours profilé se terminant dans une petite flaque d’eau.
Le parcours peut sembler facile, mais ce n’est pas le cas. C’est un parcours creusé à même la piste avec des virages assez agressifs qui se succèdent. Malgré mon niveau de planche à neige, j’y ai trouvé un bon défi!
Les coureurs étaient séparés en catégorie d’âge et de discipline. La participation fut très bonne et l’ambiance aussi, malgré le manque de soleil et les quelques gouttes de pluie.
Un skieur qui s’apprête à traverser la flaque d’eau à la ligne d’arrivée
Lors de la finale, je ne me suis malheureusement pas rendu très loin avec seulement une descente, ce qui mena à mon élimination. J’ai eu beaucoup de plaisir à participer à cette course et je fus surpris du défi que cela représentait.
Manquant de vitesse, j’ai terminé la course en plongeant dans la fin de la saison de ski.
Une cérémonie de remise de prix avait lieu par la suite et de beaux prix de participation étaient tirés.
Vendredi Saint, début du long week-end de Pâques où l’on annonce encore de la pluie ici et là, mais pas ce matin à la Station Touristique Val Saint-Côme.
Le soleil est au rendez-vous, mais pas les skieurs et planchistes. À mon arrivée, il fait 0 degrés. La surface de glisse est ABSOLUMENT formidable.
Quelques familles et vraiment pas beaucoup de gens sont en montagne aujourd’hui, ce qui m’étonne vraiment, vu la belle journée qui s’annonce.
La station nous offrait 20 pistes de pur bonheur, une seule remontée avec aucune attente du tout. La joie quoi ! Une montagne juste pour moi.
J’ai eu l’immense plaisir de pouvoir skier avec Susy ‘Cute’, une dame extraordinaire de 74 ans qui elle me disait en avoir du gaz pour son âge. Ski, vélo, voyages… Elle m’a aussi présenté un bon ami à elle, Jacques, 78 ans qui ont tous les deux des passes de saison à Saint-Côme depuis au moins 40 ans. Très impressionnant et inspirant.
Rencontrez Cameron. Un septuagénaire de 76 ans qui lui se dit être le Père Noël des bénévoles. Tout le monde le connaît à Saint-Côme et l’admire vraiment beaucoup. Il est doué pour tous les sports de glisse sans exception. Aujourd’hui, monoski avec une de ses nouvelles planches. Je souhaite pouvoir lui parler à nouveau et le connaître davantage.
Superbe vue du haut de la Cascade. Toujours avec les mêmes conditions de glisse exceptionnelles mais avec un ciel qui s’assombrit
Il est midi, vous remarquez peut-être que c’est la même prise de vue que l’une des photos précédentes, mais plus de soleil malheureusement. Le vent s’est levé un brin et on sent la pluie qui se rapproche. Ce qui devait arriver arriva, la pluie est venue gâcher la journée un peu plus tard en début d’après-midi.
Avis aux intéressés: la station sera ouverte tout le week-end de 9h à 16h et offrira un brunch de Pâques sous la thématique de la cabane à sucre ce dimanche de 9h à 14h. Pour la suite, on prévoit fermer le 26 avril. Consultez leur site web et page Facebook. Bonne fin de saison !
Présence de pictogramme incitant à la prudence, nous avisant que nos spatules pourraient entrer en collision avec des roches, racines, ruisseaux, mais aujourd’hui le Mont-Sainte-Anne aurait presque pu ranger cette signalisation, sur le versant Nord du moins.
Les huit cm de neige reçus mercredi dernier à la station ont certainement caché quelques plaques plus durcies et le travail mécanique a achevé de préparer les pistes pour une superbe journée de ski de printemps. Le soleil, quoi que plus timide au fil de la journée, a bien travaillé pour ramollir les surfaces.
Le Nord est ouvert à 100%, incluant les sous-bois signature de ce versant. Ceux qui connaissent bien la montagne savent que le ruisseau du bas de ces pistes peut être assez présent lors de la dernière fin de semaine d’opération. Il n’en est rien cette année, la neige est encore présente en abondance.
Les amateurs de glisse se sont donnés rendez-vous au nord de la montagne, mais tout au long de la journée, l’attente reste très raisonnable à la remontée mécanique. Plusieurs personnes lunchent à la base côté nord, profitant du temps clément, des tables mises à disposition et de l’absence de vent.
Sur toute la largeur, les pistes offrent des couvertures neigeuses complètes. Difficile de croire qu’il s’agit des derniers jours d’opération de la saison. En effet, la montagne est ouverte jusqu’à lundi, inclusivement. D’ailleurs, le désormais traditionnel Splash! qui devait avoir lieu dimanche a été reporté à lundi.
La neige est printanière, les carres accrochent bien et les cuisses chauffent en fin de descente. Les freinages intempestifs causés par la différence de température entre la neige à l’ombre et la neige au soleil peuvent parfois surprendre.
Au Sud, on comprend mieux pourquoi la saison tire à sa fin. Le dernier quart des quelques pistes ouvertes demande une vigilance constante afin de garder l’équipement dans un bon état. Ça fait partie des joies du ski de printemps, de contourner ruisseaux et roches. C’est toutefois prévisible que la pluie annoncée fera fondre les quelques cm qui tiennent toujours le coup. Skieurs du lundi, vous aurez possiblement quelques pas à faire en bottes.
C’est ainsi que se termine la saison 2024-2025, avec une superbe journée de ski de printemps à la montagne. Tous ceux présents retourneront assurément à la maison avec le fameux bronzage raton!
La fin de semaine dernière (dimanche, 13 avril) clôturait la 60e saison de ski de la station bromontoise, qui a célébré avec fierté tout au long de l’hiver. En 1964, alors que le ruban inaugural venait d’être coupé sur la toute nouvelle autoroute 10, l’Autoroute des Cantons-de-l’Est, les pentes du Mont Soleil et du Mont Brome étaient prêtes à accueillir les skieurs de tous les horizons. Bromont, la ville, naissait du même coup, par la fusion de plusieurs villages et hameaux des environs. C’est dans cette effervescence que la station de ski a pu lancer ses opérations pour sa toute première saison, malgré une température beaucoup trop douce pour le ski le jour de l’inauguration: Environnement Canada a enregistré une température record de 15,6°C à Granby le 25 décembre 1964. Il aura fallu attendre janvier 1965 pour que les premières descentes puissent être effectuées sur neige…
Pour beaucoup de villes et de régions, la présence d’une station de ski représente une valeur ajoutée et un moteur socio-économique important. Plus on s’éloigne des grands centres urbains, plus les communautés sont tissées serrées et les infrastructures propres aux loisirs sportifs deviennent bien souvent des lieux de rassemblement dont l’utilité dépasse la pratique initiale du sport. Lorsqu’une ville nait en même temps qu’une station de ski en plus de l’accès autoroutier qui permet aux gens d’y accéder, on assiste à la création d’un endroit unique, voué à accueillir autant des résidants des environs que des visiteurs venus de loin. C’est exactement ce que représente Bromont, montagne d’expériences!
Archives Bromont, montagne d’expériences
1964, l’année faste
Les Cantons-de-l’Est sont en plein essor dans les années 1960: les Monts SUTTON, Owl’s Head, Glen et Shefford sont tous nés dans cette décennie propice aux grands projets dans la province. Même le Mont Orford, en opération depuis la fin des années 1940, prend de l’expansion en inaugurant le versant Alfred-Desrochers. Plus près de Montréal, 1964 voit aussi naitre le Mont-Bruno, future pépinière de skieurs. Bromont s’inscrit donc dans cette lignée et se positionne rapidement comme un incontournable pour les petites familles de la région. Les lieux, soigneusement pensés, portent la signature d’un ingénieur qui réfléchit à chaque pente, chaque virage: Roland Désourdy.
La famille Désourdy est étroitement liée au développement de la station et du territoire qu’elle occupe. À l’époque, Roland Désourdy, maire de Cowansville, et son frère Germain, premier maire de Bromont, ont en tête la création d’un lieu de loisirs pour rassembler les familles de la région. C’est avec cette vision que les pentes de la station sont nées, s’inscrivant dans un site qui allierait le ski et l’autre autre passion de Roland Désourdy, les chevaux. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard que le Centre équestre de Bromont soit situé à un jet de pierre de la station. On y a même offert un transport alternatif « avant-gardiste » dans les premières années: les visiteurs pouvaient parcourir la courte distance entre le Centre équestre et les pentes de la montagne en carriole.
Hôte d’événements majeurs
Les visions de Roland Désourdy de la « ville de l’an 2000 » se concrétisent grâce à sa minutie et sa grande capacité de planificateur. Entre 1976 et 1986, Bromont accueille à deux reprises des épreuves de la Coupe du monde de ski acrobatique, ajoute le ski de soirée à son programme, installe des canons à neige et une remontée quadruple, en plus d’inaugurer son parc aquatique. Ces dix années sont déterminantes pour la viabilité de la station qui désormais peut se targuer de jouer dans les ligues majeures. Le vélo de montagne, quant à lui, est offert aux amateurs d’adrénaline dès l’été 1990.
Les couleurs du parc aquatique sont visibles même en plein hiver.
Malheureusement, la récession du début des années 1990 mettra à mal le secteur touristique et les activités de Bromont seront forcées de ralentir. C’est donc une station qui vivote, exploitée sous la tutelle de la Banque CIBC, que Charles Désourdy rachète en 1997. Cette décennie aura vu pérécliter bon nombre d’entreprises oeuvrant dans un secteur d’activités désormais « à risque » et il fallait avoir les reins solides, en plus d’une sacrée vision pour se lancer dans cette aventure. Digne fils de son père, Charles redresse la station à l’aide d’un plan stratégique minutieusement élaboré. Il misera sur deux éléments majeurs: la fabrication de la neige, et le ski de soirée. (Un article de notre série des Visages du ski sera consacré à Charles Désourdy, prévu à l’automne 2025.)
Charles Désourdy prend la pose avec fierté sous la bannière commémorative installée au sommet de la montagne.
La remontée… métaphorique et réelle!
En moins de dix ans, Ski Bromont est passée de deux à sept versants skiables et s’est forgé une place fort enviable dans l’univers scientifique de la fabrication et de l’entretien de la neige. Les dernières années, mettant en évidence l’impact des changements climatiques sur les opérations des stations de ski, donneront raison à Charles Désourdy qui, depuis son premier hiver comme neigiste à la station, insiste pour qu’on ne se fie pas uniquement qu’à la nature pour pouvoir skier… et qu’il vaut mieux lui donner un petit coup de pouce.
Faisant figure de pionnière dans l’exploitation de sites de loisirs sur quatre saisons, celle qui s’est longtemps appelée Ski Bromont a changé son appellation pour démontrer sa vocation sur douze mois: de là est né le nom Bromont, montagne d’expériences. Ces expériences continueront à s’accumuler pour plusieurs décennies à venir!
La terrasse du Bar la Débarque est chaleureuse et invitante, calme de jour et animée en soirée!
Visionnez ce film produit par la station:
D’autres images d’archive sont disponibles dans la BAnQ.
Voilà une magnifique matinée de ski … d’hiver! Oh, bien entendu le thermomètre est en notre faveur avec seulement moins 3 degrés. Cependant, malgré l’ardent soleil, un lac complètement dégelé et une vallée bientôt verdoyante, les surfaces du glacier sont de béton. Ne cherchez pas d’autre coupable que le printemps lui-même avec ses dégels et gels successifs. Mais qu’on ne s’y trompe pas, la glisse demeure de qualité pour quiconque est prêt à y mettre un peu d’effort.
Dans la Côte 70 c’est plus de 3 mètres de neige qui ne demandent pas mieux que de repousser les limites de la saison de glisse. Ce n’est pas demain que “St-Sau” fermera!
Étonnés de l’arrivée tardive en journée du ramollissement de la neige, Gordon et Werner se demandent s’ils n’auraient pas dû faire affûter leurs skis. Réponse: oui! En matinée, des sections de piste raboteuses et très dures mettent autant à l’épreuve les cuisses que les plombages des dents! Mais au risque de me répéter, la glisse est bonne et rapide. Très rapide. À compter de midi, les surfaces commencent à ramollir.
Ce samedi 19 avril promet d’en mettre plein la vue avec le Slush Cup. Traverser un étang d’eau glacée en ski ou en planche à neige n’est pas pour tout le monde. Cependant, regarder les autres le faire peut être vraiment divertissant!
Les préparatifs en vue du Slush Cup vont bon train. Les audacieux devront parcourir des méandres de 1 mètre de profondeur avant de s’élancer sur les eaux “accueillantes” de l’étang. Les meilleurs, ou les plus chanceux, traverseront au sec. Les moins bons, ou les moins chanceux, nageront…
Bien heureux est le chroniqueur qui a affûté ses skis la semaine dernière, car le dérapage veille et les surfaces laissées au naturel brillent de mille éclats peu rassurants.
Le BBQ sur la terrasse extérieure fait partie des traditions printannières de Sommet St-Sauveur. Le parfum de la viande qui grille me fait presque regretter d’avoir apporté des carottes et un muffin-au-son-sans-sucre pour mon lunch… Ah pis tiens, la saison achève, aussi bien l’avouer: OUI, je regrette d’avoir apporté mon lunch.
Il y a de la glisse pour encore un bon moment ici malgré l’inéluctable progression du printemps. Il est à noter que la station n’ouvrira que du vendredi au dimanche à compter du 22 avril. La fermeture est prévue pour le 19 mai. C’est pas incroyable ça?!