Journée idéale au Valinouët pour nous aujourd’hui, avec une météo adéquate affichant -8°C. Le ciel était couvert toute la journée avec une fine neige qui tombait.
À la suite d’une bordée de neige soudaine, des amis de la Mauricie sont arrivés très tôt ce matin pour profiter des conditions exceptionnelles qu’offre cette montagne. Ils ont été impressionnés par l’accumulation et par la qualité de neige naturelle du Valinouët.
Il y avait 20 pistes ouvertes aujourd’hui sur le versant principal. Tous les sous-bois sont ouverts sauf le Ruisseau.
Ici, le ratio de la durée de la montée par rapport à l’effort et à la qualité des descentes est intéressant.
Avec ses pistes adaptées à tous les niveaux, du débutant aux skieurs plus expérimentés, le domaine permet une immersion dans la nature avec des panoramas époustouflants sur les montagnes environnantes.
Il n’y avait aucun temps d’attente à la remontée mécanique malgré les belles conditions enneigées.
Au total à cette date, la station a reçu une accumulation de 241 cm de neige.
“Pourquoi vas-tu si souvent au Mont Rigaud?” La réponse est courte: le ski y est toujours très bon! Simple comme ça. Une fois de plus aujourd’hui, et après avoir skié ici très souvent depuis plus de 30 ans, la promesse est tenue: le ski est en effet très bon! Sur la photo, la piste La Falaise (expert) est une micro-escapade dans un environnement alpin digne de l’Ouest. Les rochers aux arêtes vives et angulées côtoient les conifères centenaires. En prime, le doux chant d’Éole dans la cime des pins et des pruches.
Pas de foule, mais une fréquentation quand même soutenue en ce lundi de fin de congé des Fêtes. Les écoles de la région sont en pédago. Heureux sont ceux et celles qui sont sur les pentes de Mont Rigaud. À mi-piste de l’Express (expert), une courte pause permet d’apprécier la vallée de l’Outaouais avant de rejoindre la nouvelle remontée mécanique.
Déjà balisée et circonscrite, la Siffleux n’attend que Dame Nature avant de s’offrir des bosses. En attendant, on y skie comme ailleurs à la station: avec plaisir.
Un environnement alpin, certes, mais les “skinneux” (dont je suis) doivent prendre leur mal en patience. Sur la photo, cet étroit passage pentu du sentier d’ascension Éboulement (expert) est probablement le crux de la remontée. Deux autres passages sont également difficiles. N’y passe pas en ski qui veut! Ne vous fiez pas à la photo, la réalité est plus à pic et étroite que ne le suggère l’image. Les deux autres sentiers d’ascension, sur l’autre côté de la station, sont plus dociles!
En planche à neige ou en ski, les conditions permettent autant les virages dérapés que profondément “carvés”. Zone.Ski aime bien parler d’autre chose que des conditions de neige, mais cette saison en dent de scie nous force à en parler. En effet, plusieurs skieurs et planchistes se demandent encore si ça vaut la peine de venir. Réponse: OUI, totalement!
Dans la Schenley, le parc à neige est complet et n’attend que les aventuriers.
Première visite de la saison et non la moindre au Mont SUTTON situé dans la magnifique région des Cantons de l’Est. Sutton s’est bien repris du dernier redoux de la semaine dernière avec plus ou moins 40 centimètres de nouvelle neige!
Sutton nous offrait aujourd’hui 45 pistes et sous-bois un peu partout sur son domaine skiable avec trois remontées mécaniques en service le télésiège de la pente école, le télésiège principal débrayable ainsi que la remontée quadruple du secteur IV. L’attentes aux remontées était pratiquement nulle!
La couverture de neige était très bonne dans les pistes enneigées mécaniquement mais le base durcie et glacée faisait en sorte que nous skiions davantage les pistes à neige naturelle qui étaient beaucoup plus agréables à dévaler malgré une base plus mince et quelques endroits à découvert.
Il fallait être habillé en conséquence aujourd’hui avec ce froid et un mercure oscillant à moins 15 degrés. Heureusement, aucun vent en cette journée et le soleil a même fait son apparition en après-midi pour nous donner une meilleure visibilité.
C’était une journée des plus féériques aujourd’hui au Mont SUTTON! Tous les arbres étaient givrés de neige et le paysage était tout simplement à couper le souffle! Sutton a sans doute l’un des plus beaux paysages au Québec et je ne m’habitue jamais à un tel spectacle!
La semaine dernière, nous étions en quelque sorte découragés avec ce long et pénible redoux mais Dame Nature c’est bien reprise en gâtant le Mont SUTTON de toute cette nouvelle neige! Les conditions ne feront que s’améliorer lors des prochaines semaines et le meilleur reste à venir pour cette magnifique grosse montagne. L’hiver semble être commencé pour vrai et la station vous attend avec tout son charme.
Ce n’était pas une résolution du Nouvel An, mais bien un petit cadeau de moi à moi! J’avais une très bonne intention en m’équipant d’un splitboard, juste à temps pour les Fêtes, étant en vacances entre Noël et le Jour de l’an. Ma non-connaissance sur le sujet et la météo en ont décidé autrement mais j’ai enfin pu tester mon équipement! Je vous raconte mes défis et mes constats.
L’équipement et son importance
Avant de commander, j’ai fait le tour de plusieurs vidéos YouTube pour acquérir des connaissances. Je voulais créer mon kit sans réellement savoir tout ce qu’il fallait savoir… Mais dans ma tête, parfait, j’étais prête ! Il ne me restait qu’à commander tous les items suivants : le splitboard, les fixations spéciales, les peaux d’ascension, des bâtons pliables et un sac pour ski de randonnée.
D’abord, la première décision à prendre: la taille de la planche. Le choix recommandé par les fabricants et techniciens concernant le splitboard est de sélectionner une planche peu plus longue que notre choix habituel, car on espère rider un peu plus de poudreuse durant nos sorties qui seront idéalement en hors-piste, ce qui inclut donc des descentes dans un domaine skiable non-accessible en télésiège.
Pour les peaux, Rossignol offrait des peaux d’ascension pré-coupées parfaites pour la longueur de mon splitboard alors je n’ai pas eu à me casser la tête à savoir les couper ou installer les attaches aux extrémités.
Par contre ce n’est pas tout… Prenez en note que parfois les fixations peuvent venir sans le “kit de pucks”. Étant donné mes expériences antérieures d’achats de fixation pour planche à neige, pour lesquelles j’ai toujours eu plusieurs sortes de roulettes pour installer celles-ci sur ma planche, j’ai pensé que par défaut le “kit de pucks” allait venir avec la fixation et je n’ai pas fait attention du tout. Je dis alors un gros merci au Groupe Rossignol qui, malgré mon erreur, m’ont fait parvenir très rapidement les pièces qu’il me manquait pour me permettre de boucler la boucle !
L’autre petit défi que j’ai vécu pour le choix de mon équipement est relié à ma taille: je suis petite! J’ai donc des petits pieds… dans les choix de grandeurs pour la fixation que j’avais choisi, il n’y avait pas de Small, et les informations disponibles dans la fiche technique des fixations ne me permettaient pas d’être certaine à 100% que la taille allait convenir. J’étais dans l’inconnu, sans savoir si j’allais avoir un fit parfait. Si vous avez envie de faire confiance à l’intelligence artificielle pour savoir si une botte d’une grandeur donnée est compatible avec une fixation spécifique, j’ai testé pour vous… Selon Copilot (l’outil conversationnel de Microsoft), toutes les grandeurs et les sortes de bottes étaient compatibles avec la fixation de grandeur Médium alors je vous dirais de ne pas lui faire confiance pour le moment! Par contre, lorsque j’ai demandé la même chose à ChatGPT (OpenAI), il était capable de me répondre que ça allait fonctionner pour ma marque de bottes de grandeur 7 pour femme, car il a trouvé le nombre de centimètres que la fixation acceptait et il savait aussi les cm pour la longueur de ma botte.
Joie, le tout fonctionne maintenant à merveille!
La bonne préparation
Vous cherchez quoi mettre dans votre sac de randonnée ? Voici quelques détails que j’ai rassemblés. En fonction de la température, vous allez peut-être vous mettre une veste légère puisque le cardio nous permet de suer notre vie en ascension. Il vous faudra tout le nécessaire pour faire votre descente : casque, gants plus chauds, lunettes de ski, doudoune plus chaude, etc. Pour votre sécurité, surtout en secteur hors-piste, n’oubliez pas votre cellulaire même si parfois la couverture du réseau n’est pas garantie, une gourde d’eau (isolée!), et comme on ne sait jamais combien de temps peut durer une sortie, prévoyez aussi une lampe, une couverture de sûreté et une pelle pliable ! (Pour d’autres conseils sur les préparatifs et la sécurité reliée au ski de randonnée, je vous invite à lire cet article de mon collègue: “La randonnée alpine en toute sécurité“.)
Ça monte !
Enfin, j’étais prête pour la montée ! Loin de me douter que ça monte autant, après 420 mètres, j’ai dû prendre une pause pour me recentrer l’esprit. Au Valinouët, j’ai fait l’ascension à flanc de montagne et la grimpe est impressionnante mais c’est tellement valorisant par la suite de s’être rendu jusqu’au sommet à l’aide de notre propre jus de jambes! Le paysage après la tempête était d’une beauté hors du commun. C’est comme être dans un sous-bois, mais en montée. J’ai eu un léger stress lorsque je suis tombée face à une descente un peu plus abrupte, car je ne savais pas comment les skis allaient réagir avec les peaux en descente. Deux bons samaritains m’ont aidé à prendre confiance en moi face à cette petite descente à skis, car je n’ai jamais fait de ski de ma vie !
Où est passé mon sens de l’orientation?
Je l’ai dit d’emblée, je débute dans la randonnée alpine. Alors outre la découverte du matériel, je découvre aussi… l’ascension. Fait cocasse: en étudiant les cartes de sentiers d’ascension, j’avais prévu aboutir dans le versant Nord-Ouest du Valinouët, mais je me suis retrouvé complètement désorientée face au zigzag que le sentier fait par-ci-par-là, et la forêt autour de moi ne me permettait pas de me repérer! Je ne reconnaissais rien autour de moi, malgré ma connaissance énorme de cette montagne, alors que j’avais justement choisi de faire ma première expérience au Valinouët par sentiment de sécurité. Force est de constater que je me suis trompé de chemin quelque part, car j’ai fini sur le versant principal!
Enfin au sommet
Quelle satisfaction lorsque j’ai franchi les derniers mètres qui me séparaient du sommet! Je ne pouvais pas réaliser que plusieurs skieurs de randonnée sont capables de faire plusieurs ascensions dans la même journée. J’étais exténuée, mais le changement que ce sport m’a apporté était ce que je recherchais. Il me restait encore la transformation de mon splitboard des “skis d’ascension” en planche à neige, cette étape m’avait beaucoup inquiété dans les jours précédents. Même à mains nues dans mon salon, je n’arrivais pas à changer mes fixations de place sans devoir m’appuyer fortement sur quelque chose de dur. Heureusement, tout s’est bien terminé, car avec la force que me permettaient mes mitaines et le fond de neige durci, j’ai pu les glisser plus facilement que dans mon salon… sans rayer mon plancher! Les gestes pour pivoter les pièces et imbriquer les mécanismes deviendront plus naturels pour moi au fur et à mesure de mon utilisation. Pas mal pour une première, quand même!
Moi qui adore passer du temps en forêt en général, l’hiver, c’était encore plus magnifique ! Je vous conseille de vous lancer dans l’aventure si vous hésitez encore. C’est une expérience des plus valorisantes !
Le sentier d’ascension croise aussi des sentiers de raquette. Je vous recommande de bien regarder la carte de tous les sentiers disponible sur le site du Valinouët pour mieux vous orienter avant d’entreprendre votre aventure! Et pour ceux qui se demandent, j’ai fait seulement 3 descentes en piste (avec le télésiège) après ma seule ascension… je n’avais plus de jambes pour continuer plus longtemps!
Ah Sutton! Tu as toujours su comment me conquérir! Déjà en regardant ton site Internet ce matin, tu as su me titiller en inscrivant le mot “poudreuse” dans les conditions détaillées.
À mon arrivée, une légère neige tombait sur la montagne. La température était froide, mais pas assez pour nous empêcher de profiter de la nouvelle neige.
Avec les variations climatiques des derniers jours, le petit 5 à 7 cm de nouvelle neige, qu’on peut ajouter aux 20 à 27 cm de neige reçu dans les dernières 48 heures, nous a donné des pistes avec une surface de poudreuse légère, et même parfois profonde sur un fond ferme. Dans certaines pistes par contre, le fond était proche.
Un peu plus de la moitié du domaine skiable était ouvert avec un total de 35 pistes sur 60. L’équipe d’enneigement était en opération.
Nous avons passé une bonne partie de la journée dans le secteur de la remontée 4. Neige folle, bosses et sous-bois, bref, le bonheur!
Au final, toutes les variables étaient présentes pour contribuer à une excellente journée de ski. Merci Mont Sutton! Et bon ski à tous!
Un début de journée qu’on attendait ultra achalandée. Erreur! Malgré la fin imminente du congé des Fêtes, ou à cause de cela, le nombre de visiteurs n’atteint pas des records. C’est dommage car les conditions sont bonnes et la neige, rapide. La station n’est que partiellement ouverte, mais tous les espoirs sont permis pour une mise en service complète bientôt. Alors qu’Hydro-Québec annonce une période de pointe, la température est quand même agréable.
Du sommet du versant Soleil (dont il brille… par son absence), on voit combien la fabrication de neige est soutenue.
Le soleil a bien daigné se montrer l’instant d’un virage. Les bases deviennent fermes au cours de la journée. Cependant la glisse demeure très bonne, surtout en fréquentant les bordures de piste. Des carres récemment affûtées sont recommandées.
Les moins 15 degrés celsius de l’ouverture en amènent quelques uns à préférer le ski de l’intérieur! Le vent demeure présent toute la journée, mais une fois bien couverts les skieurs sont très majoritairement sur les pistes. On ne parle pas d’un grand froid, n’en déplaise à quelques médias…
À première vue on pourrait croire que les sous-bois sont fréquentables. Pas du tout. En tout cas pas pour la descente. Des randonneurs alpins font état de sentiers d’ascension bien acceptables, mais aucun ne descendra en dehors des pistes damées.
Une piste est réservée à l’entraînement de l’équipe de compétition. Malheureusement, on ne peut les apercevoir que du départ pendant un très bref moment. Le reste du parcours nous est inaccessible en plus d’être hors de notre vue.
Partout dans les pistes fermées, des équipes d’enneigement sont à pied d’oeuvre. Sommet Morin-Heights n’a pas jeté la serviette. Nous skierons bientôt sur un domaine complet.
La pente école, Skiwi, est achalandée. Des grands-parents observent les petits faire leurs premières descentes. Bien qu’elle oblige à une petite marche en sortant du chalet, la piste est idéalement située: éloignée de la circulation de skieurs et de planchistes et relativement à l’abri des vents, en plus de faire face au soleil. Qui dit mieux?
Situé à 22 km au sud de Tremblant, Mont Blanc mérite qu’on s’y attarde. Cette station familiale sait surprendre les visiteurs qui y viennent skier pour la première fois.
Question de se réveiller les cuisses, la Yodel est parfaite. Cette piste débutante permet déjà de faire connaissance avec la personnalité de la montagne : surprenante et joueuse.
Par la suite, on enchaîne les pistes bleues et noires. Un point en commun de l’ensemble des pistes : une bonne pente au début, puis une section plus plate pour ensuite sauter une arête permettant de planer un peu.
C’est une neige granuleuse sur fond durci qui nous attend en matinée. Après le lunch, les plaques glacées apparaissent, mais peuvent être contournées.
Comme mentionné dans Le Guide des stations de ski de Zone Ski au sujet de Mont Blanc, c’est l’une des meilleures stations des Laurentides au niveau de la diversité du terrain ! De belles pistes larges, comme plus haut sur la photo, à des pistes étroites et pentues comme celle-ci.
24 pistes sur 43 étaient accessibles aujourd’hui. Il faudra revenir pour skier le versant nord puisqu’il est fermé. Les pistes vertes et bleues sont en enneigement, ainsi que la Panoramique, une noire.
Le versant Faustin était plus glacé que le Mont Blanc.
Mais certains skieurs y trouvent tout de même leur plaisir avec de bons skis affûtés.
Le bar a été rénové voilà 2 ans et il est splendide !
Tous les samedis, dès 15 h, le bar reçoit un chansonnier. Ambiance festive assurée ! Le plateau du skieur à partager et la traditionnelle soupe à l’oignon ont comblé l’appétit des skieurs….
Tout comme la visite du renard, mascotte de la station, a su combler le cœur des enfants !!
La station a récemment inauguré son ski de soirée avec un éclairage au DEL. Et autre nouveauté, les billets journaliers sont désormais basés sur une durée et s’activent au premier passage à la remontée. Valables pendant 7 h 30, ils permettent de commencer plus tard : par exemple, un billet activé à 10 h sera valide jusqu’à 17 h 30.
Peu de nouvelles accumulations dans l’Outaouais depuis les deux dernières semaines, mais l’enneigement à la station se poursuit. Environ 50% du domaine skiable est ouvert. Ici, le haut de la nouvelle zone d’apprentissage. Cette piste n’est que la première étape d’un projet qui, à terme, comprendra aussi une deuxième piste de l’autre côté du tapis magique.
Journée “Démo” offerte par la boutique “Les Sommets”. Tous les modèles à l’essai sont de l’année dernière et sont à vendre à rabais. J’en profite pour tester le temps de quelques descentes un modèle Dynastar à court rayon, Omeglass Master. Ce sont des skis qui s’avèrent parfaits pour faire face aux conditions plutôt durcies d’aujourd’hui.
Ici, dans la piste Trou du Diable, les canons à neige crachent de l’or blanc à plein régime en cette journée où le mercure atteint environ -12°C.
Au départ du sommet, toutes les pistes vertes à gauche de la remontée principale sont ouvertes. La prochaine qui ouvrira sera la piste Zoomer, située sous la remontée. Au train où vont les choses, elle devrait ouvrir la semaine prochaine à mon avis.
Dans le haut de la piste Rue Principale, la piste la plus large qui était ouverte aujourd’hui.
Le nouveau tapis magique recouvert d’un dôme. Parfait pour annuler le refroidissement éolien et ajouter quelques degrés de chaleur pendant la montée, mais demeurez tout de même sur vos gardes, car si le mécanisme d’arrêt d’urgence est actionné, c’est assez brusque comme mise à l’arrêt.
C’était l’inaugration officielle du nouveau tapis magique et de la nouvelle piste d’apprentissage appelée “Iceberg”. Des responsables de l’association des stations de ski du Québec et des “Sommets” étaient sur place pour procéder à la coupe du ruban. Pour l’occasion, les mascottes étaient sur place, on servait du chocolat chaud aux skieurs et quelques objets promotionnels étaient offerts gratuitement en cette journée spéciale (j’ai eu un cache-cou!).