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    Un montant record de plus de 1M$ pour le Défi ski Leucan 2022

    Montréal, le 27 mars 2022 – Leucan, l’Association pour les enfants atteints de cancer et leur famille, est fière d’annoncer que le Défi ski Leucan 2022, coprésenté par Fenplast et Desjardins, a permis d’amasser 1 044 171 $ pour les enfants atteints de cancer et leur famille, un montant record depuis la première édition en 2006.

    De retour en présentiel, le Défi ski Leucan a eu lieu sur huit différents sites à travers la province de Québec cette année. Seuls ou en équipe, les participants s’engageaient à amasser un minimum de 500 $ pour les enfants atteints de cancer et leur famille.

    Le retour du Défi ski Leucan, un événement essentiel à la mission de Leucan

    Après deux éditions modifiées en raison des consignes sanitaires, les participants du Défi ski Leucan se sont mobilisés en grand nombre pour la cause : c’est plus de 1550 personnes qui ont dévalé les pentes en solidarité envers les enfants atteints de cancer.

    « Nous sommes touchés par la solidarité des participants. Ce résultat record témoigne de l’engouement et de la tradition ancrée envers le Défi ski Leucan. Nous sommes fiers de pouvoir compter sur nos fidèles participants qui se dépassent pour la cause année après année. Nous étions vraiment heureux de tous les retrouver sur les pentes pour l’édition 2022. », mentionne Stéfany Brulier, directrice des campagnes annuelles à Leucan.

    Depuis la première édition en 2006, plus de 9 millions de dollars ont été amassés par plus de 25 000 skieurs et planchistes qui se sont mobilisé pour la cause.

    À propos du Défi

    Le Défi ski Leucan, c’est des heures de ski ou de planche à neige et plusieurs activités sur sept montagnes et un centre au Québec en soutien aux enfants atteints de cancer et leur famille. Il s’agit d’une activité conviviale, familiale et participative à la portée des gens de tous âges. Les participants forment une équipe d’une à quatre personnes et amassent un minimum de 500 $ en dons pour Leucan pour participer au volet participatif. Chaque membre de l’équipe doit effectuer une descente à l’heure pendant tout l’événement. Visitez le defiski.com.

    Une réussite grâce à des partenaires au grand cœur

    Leucan souligne la générosité des coprésentateurs du Défi ski Leucan, Fenplast et Desjardins, ainsi que du porte-parole provincial, Félix Séguin. Merci également à tous les bénévoles, partenaires et commanditaires régionaux qui ont permis à cette 17e édition d’être un succès.

    À propos de Leucan

    Leucan s’engage depuis plus de 40 ans à soutenir les enfants atteints de cancer et leur famille, dès le diagnostic et à toutes les étapes de la maladie et de ses effets. Fidèle alliée de centaines de familles, de milliers de membres à travers le Québec, l’Association offre des services distinctifs et adaptés grâce à une équipe qualifiée, ayant développé une expertise de pointe dans le domaine. À ces services s’ajoutent le financement de la recherche clinique et le Centre d’information Leucan. Grâce à ses neuf bureaux, Leucan est présente à travers la province.

    Mont SUTTON: Aussi invitant au printemps

    Skieurs et planchistes s’entendent sur un même sujet. L’hiver parfait se situe entre -5 et -15, continuellement rafraîchi de doux flocons aux cristaux parfaitement équilibrés, parsemé de soleil, réchauffant la peau exposée à l’air libre. Située au cœur des montagnes vertes, Mont SUTTON reçoit 4 à 5 mètres de neige par année, bon an mal an grâce à son altitude ainsi qu’un certain microclimat déjà bien connu. La station est loin d’être à l’abri des changements climatiques et la réalité est qu’on navigue entre écarts drastiques plusieurs fois durant la saison. Ceux-ci nous préparent pour le printemps, qui offre la récompense ultime après les journées trop froides. Voici comment en profiter.

    Quand y aller

    Les belles journées de ski de printemps sont un peu comme celles de poudreuse, il faut jouer à l’analyste prévision météo. Il y a plusieurs stratégies à adopter pour apprécier Sutton lorsqu’il fait chaud. S’il a fait froid durant la nuit précédente (tout près du point de congélation), mieux vaut changer son habitude et skier plus tard dans la journée que tôt. Ceci donnera le temps aux surfaces de ramollir, surtout si le soleil est présent. On la joue relax le matin avec un bon brunch, puis on se dirige pour un après-midi actif. Lorsque les prévisions indiquent une journée à 10 degrés et plus, c’est du bonbon garanti, on ne se trompe pas.

    Quoi skier

    Le terrain de jeu est tellement varié à Sutton qu’on peut facilement s’adapter selon les conditions. Il faut effectuer une première descente pour comprendre la situation. Si on sent que la neige est trop collante, il ne faut pas hésiter à choisir des pistes plus difficiles qu’à l’habitude. La surface est beaucoup plus lente et nous donne le temps d’effectuer des virages sécuritaires. Les bosses étant molles, elles sont moins dures sur le corps également. Il est étonnant de voir comment une inclinaison prononcée est soudainement plus facilement négociable. Un virage à la fois, on n’est pas pressé, car il fait chaud !

    Les sections ombragées quant à elles vont offrir beaucoup plus de vitesse, on les utilise seulement lorsqu’on descend des pentes plus douces, on évitera alors à nos jambes d’être trop taxées en raison de la mauvaise glisse.

    Les sous-bois demeurent une option très pertinente. C’est là où l’on poursuit une belle tradition à Sutton, soit créer sa propre descente. Oui, il y aura des obstacles, mais c’est très amusant de les contourner.

    Je n’ai pas les vêtements qu’il faut…

    Erreur ! On possède tous l’équipement nécessaire pour skier au printemps. Il faut jouer avec les combinaisons. C’est le moment d’utiliser la fonctionnalité « trappe d’aération » du pantalon ou du manteau. Cette option n’est pas disponible ? Les plus téméraires optent pour le sous-vêtement porté tout l’hiver en dessous du pantalon agrémenté d’un short. Ce type de combinaison offre deux avantages : il protège la peau si on fait une chute, il évite aussi de remplir nos bottes de neige lorsqu’on effectue des virages. Évidemment, on oublie les mitaines. Un léger gant de course, de vélo, de ski de fond fait très bien l’affaire. On remplace les lunettes par de légers verres fumés et le jour est joué.

    Le mois de mars est LE meilleur mois de la saison de ski. La couverture sur les pistes est généreuse. L’achalandage est minime après la relâche. Sutton étant bien campé au sud du Québec, le soleil est chaud. On peut enfin ne pas se soucier d’avoir froid ! Il suffit d’oser une seule fois pour comprendre le bonheur de ne pas porter les grosses lunettes. On se sent léger.

    Profiter des pentes alors que les foules se lancent à d’autres activités hâtives printanières est un moment facile pour jouer à contre-courant. Pourquoi choisir la montagne au lieu de la terrasse en ville ? Parce qu’on peut faire les deux en même temps au Mont SUTTON. Le chalet principal offre un mini belvédère, directement relié au bar le Tucker. L’essayer c’est l’adopter!

    Mont Sainte-Marie – Skier au pays des paléo glaciers!

    Un voyage vers le Mont Sainte-Marie, c’est un peu comme remonter dans le temps. Au fur et à mesure que l’on remonte la vallée de la rivière Gatineau vers le nord, les bâtiments et les villages que l’on croise, semblent sortir d’une autre époque, pas si lointaine celle-là… mais si on porte une attention particulière aussi au relief qui nous entoure, ça devient un voyage dans le temps sur plusieurs milliers, voire même millions d’années. Lors de votre prochain passage dans ce coin, ouvrez l’oeil et observez les nombreuses sablières de chaque côté de la rivière Gatineau… ce sont les restes d’eskers, des vestiges de l’accumulation de sédiments provenant de l’eau de fonte qui coulait autrefois sous d’immenses glaciers qui recouvraient cette région du Bouclier canadien. Étant parti de Gatineau, c’est après un peu plus d’une heure de contemplation que j’arrive finalement au Mont Sainte-Marie.

    Malgré le stationnement très étroit et allongé qui étire la marche entre la voiture et le chalet, on peut rattraper le temps en passant au service de billetterie à l’extérieur qui est efficace et rapide. Si c’est votre première visite au Mont Sainte-Marie, vous serez peut-être surpris du dénivelé réel, qui diffère un brin de ce que les statistiques connues annoncent. Oubliez les chiffres et lancez-vous en piste pour découvrir deux montagnes dans une même station, direction Cheval Blanc, un versant où la majorité des pistes sont pour les experts.

    Découvrir le Cheval Blanc

    On s’y rend soit en empruntant la petite navette, une sorte de tracteur qui tire deux remorques dans lesquelles les skieurs peuvent prendre place, façon Disney Word, ou alors, ce que je préfère: marcher le temps d’une petite minute et de gravir un petit dénivelé d’environ 2 mètres pour atteindre le départ d’un sentier de ski qui longe la route empruntée par la navette. Il suffit de se laisser glisser pour parcourir à ski la même distance que la navette vous ferait parcourir!

    Il y a toujours beaucoup moins de skieurs sur la montagne Cheval Blanc que sur le versant Vanier et ce, même lors des belles journées de ski de printemps. Lors de mon passage, j’estime qu’environ le quart des skieurs présents profitaient du Cheval Blanc. Les pistes Betsy et Formidable sont de vrais murs. La piste Betsy, avec sa grande courbe de haut en bas, nous fait ressentir les effets de la compression sur notre corps: attention de ne pas arrvier trop vite en bas à la jonction de la piste Carrousel Bas, qui elle est beaucoup moins inclinée…

    La piste emblématique de la station, c’est la piste Dustin Cook, justement située sur le versant Cheval Blanc. C’est à mon avis la plus belle de la station, et possiblement de tout l’Outaouais. On la descend sur un dénivelé de près de 240 mètres, de haut en bas, sans aucun faux plat, avec de légers virages qui suivent la ligne de pente naturelle. Depuis l’année dernière, cette piste a été élargie (on pourrait facilement y mettre deux parcours de slalom côte à côte!), de nouveaux canons à neige permanents ont été ajoutés, et un tout nouveau chalet pour le club de ski a été construit au bas de la piste (il remplace les roulottes que le club utilisait auparavant). 

    D’importants développements immobiliers

    C’est justement au bas de la piste Dustin Cook qu’on projette de construire un nouvel hôtel de type ski-in/ski-out : https://msmhotel.ca/. Si ce projet se réalise, ce ne serait pas le premier hôtel à être construit sur le site du Mont Sainte-Marie. En effet, dans les années 1970-1980, un hôtel trônait en plein centre de la montagne et a eu son heure de gloire, par la suite longtemps laissé à l’abandon. Lors de mon passage, on pouvait justement voir les pelles mécaniques à l’oeuvre pour terminer de retirer l’ancienne structure de béton, qui défigurait le paysage depuis beaucoup trop longtemps.

    L’immobilier semble connaitre un certain regain aussi du côté de la montagne Vanier. Depuis quelques années, plusieurs résidences luxueuses ont été construites à flanc de montagne. D’ailleurs, le chemin d’accès de ces résidences emprunte l’ancienne piste « verte » qui permettait aux skieurs d’éviter les pistes plus difficiles pour se rendre jusqu’en bas de la montagne. Les skieurs débutants n’ont plus cette option dorénavant.

    J’ai terminé ma journée de ski de printemps sur la montagne Vanier avec des descentes répétées dans les piste Sérénade et Tornade, qui toutes les deux se terminent dans la Caroline Calvé, qui est une piste intermédiaire très large avec une belle inclinaison. C’est la piste visible sur l’image d’entête de cette chronique. À la question que bien des skieurs québécois se posent: « Est-ce que ça vaut la peine de faire le trajet pour se rendre skier au Mont Sainte-Marie ? » Ma réponse: en provenance d’Ottawa-Gatineau, assurément! En provenance d’ailleurs au Québec ? Assurément aussi si vous ne l’avez jamais essayé! Après tout, rares sont les occasions de découvrir une nouvelle montagne qui ne ressemble à aucune autre du Québec!

    Un changement de nom pour honorer un moniteur

    Un peu plus tôt cette année, la piste Chanson du versant Vanier a été renommée en « Yodel ». Le changement de nom avait pour objectif d’honorer la mémoire d’un moniteur de ski fort important pour l’endroit, André Beauchemin, décédé subitement en 2021. Le choix du nom de la piste a été déterminé en fonction du cri de ralliement qu’utilisait M. Beauchemin lors de ses leçons de ski, lui qui est tombé en amour avec l’art de yodler lors de voyages en Europe. (Un reportage a été effectué à ce sujet, avec en entrevue Wendy Desormeaux, directrice de l’École de neige au Mont Sainte-Marie, et instigatrice de cet hommage.)

    La Réserve: Quand les bourgeons trépignent

    Au bonheur de la retraite lors d'un début de printemps attendu depuis longtemps.

    Quand le printemps arrive

    Il y en a des plus belles. Il y en a des plus grosses. Il y en a des plus impressionnantes. Mais il y en a guère de plus fantastiques pour célébrer la venue subite du printemps, même quand le soleil tarde à sortir de derrière les nuages. La Réserve est une station qui promet des journées printanières sans foule ni cérémonie. Juste du bonbon. Alors qu’elle tourne le dos au soleil, la station peut profiter de quelques jours additionnels avant que les rayons perçants ne viennent à bout de l’enneigement. On y gagne au change car en effet on peut à la fois profiter de conditions printanières qui s’étirent, tout en profitant des chauds rayons bien assis à la base à observer les skieurs et planchistes. Le meilleur des deux mondes.

    Avec quelques pitchs dignes de ce nom qui se drainent bien du surplus d’eau, la glisse se fait rapide et franche. Bien entendu du côté de la piste verte, parfois saturée d’eau, ça ralentit de façon alarmante. Mais comme le dit si bien ce visiteur ontarien en pleine relâche: “Who cares?!” Si tôt au printemps tout est visuellement hivernal, mais dans l’air c’est bel et bien la fin de l’hiver qui pointe son nez. Et avec un billet pour adulte à 25$ on serait fou de tourner le dos au trépignement des bourgeons.

    Des activités pour profiter pleinement de la neige

    Quatre autobus scolaires se stationnent. Une horde d’adolescents bien ordonnée, mais énergique, en descend. À la location, la file est longue, mais patiente. Tous ne feront pas du ski. Certains chaussent des skis de fond. D’autres se dirigent vers le tubing. Cependant, la majorité est ici pour le ski. Sur le tapis magique et sur la pente école ça rigole solide. Ça tombe. Ça rit. Ça s’amuse. Plus tard, on croise cette joyeuse bande sur les pistes. Faciles à reconnaître, ces ados novices: sans bâtons, ils déferlent comme des chiots tout droit sortis de sous le ventre de leur mère. Un chaos rigolo et titubant qui fait sourire. Dans la piste de tubing, la fête est “pognée” solide. On a juste envie d’aller glisser avec eux. Le soleil n’est pas au rendez-vous à chaque instant, mais ça n’empêche pas une telle journée d’être souveraine en ce printemps précoce. Ces adolescents, je me dis qu’ils vont dormir dans le bus au retour! Plus loin, des randonneurs alpins d’expérience en split boards s’apprêtent à refaire une ascension. L’hiver est loin d’être terminé.

    Un domaine skiable sérieux et mémorable

    La Réserve offre des pistes et des sous-bois qui mettent au défi même les plus aventureux. N’offrant qu’une seule piste verte de haut en bas (une autre fait la moitié du dénivelé), la station possède des inclinaisons qui permettent aux skieurs intermédiaires de progresser avec de bons défis, alors que les experts peuvent se mesurer aux Chute Libre Haut et Pirouette Haut. Si la glace et les surplombs rocheux ne vous effraient pas, c’est la place où montrer votre savoir-faire. Ou du moins votre audace, faute de talent ou de jugement! Si ce sont les arbres qui exercent la plus forte attraction sur vous, accourez vers les sous-bois dont plusieurs sont sérieusement invitants. Pour peu que frôler l’écorce du bouleau et sentir la sève du sapin ne vous effraie pas.

    Même en pleine période printanière les parties les plus difficiles de la montagne conservent un enneigement suffisant. Bien entendu, le Versant Nature perd plus vite ses plumes, alors que le soleil darde ses rayons en plein visage de ces pistes non damées. Peu importe sur quelle piste on pose ses skis ou sa planche, la mollesse des surfaces, même quand elles arboraient hier encore des plaques de glace, promet des virages où on laisse de profonds sillons de carres. La Pirouette Bas, avec sa largeur de boulevard et sa pente soutenue, invite à l’accélération et au long rayon. À La Réserve, c’est tout le domaine qui fait d’un printemps le bonheur d’être sur ses skis et de ne vouloir quitter la station qu’au moment où les jambes flanchent dans la neige devenue lourde. Le genre de sensation qui perdure dans le corps courbaturé et dans l’esprit heureux des efforts fournis sans mesure.

    Le Massif de Charlevoix vu par l’oeil des Ontariens

    Dès l’arrivée au sommet du Massif de Charlevoix, le ton est donné: la journée sera teintée d’expressions anglaises pour témoigner de la splendeur du ski qui s’amorce sous un ciel bleu ensoleillé. De fait, les plaques d’immatriculation de l’Ontario se multiplient alors que nous cherchons notre espace de stationnement, signe que nous sommes en pleine semaine de relâche dans la province voisine du Québec. Même si les Ontariens sont nos voisins, la station charlevoisienne ne se trouve pas nécessairement à leur porte, alors nous avons voulu savoir pourquoi ils choisissent de faire la route vers les hauteurs de Charlevoix afin de dévaler les pistes jusqu’au majestueux fleuve Saint-Laurent.

    Deux ados impressionnés

    On dit souvent que l’émerveillement se dévoile lorsqu’on regarde la vie avec les yeux d’un enfant. Même s’ils ne sont plus des enfants mais plutôt des adolescents, Ryan et Tom, respectivement 12 et 14 ans, sont émerveillés par leur première visite au Massif de Charlevoix.

    Ces deux jeunes originaires d’Ottawa passent leur semaine de relâche à skier au Québec avec leurs parents, et cet hiver leurs skis se sont rivés sur ce qu’ils qualifient, avec raison, «de la montagne avec le plus long dénivelé dans l’est du Canada».

    Très excités par leur journée de ski, Ryan enchaîne: «On vient d’Ottawa, donc les montagnes sont plus petites. Nos amis nous en parlaient depuis quelques années, comment le ski est bon ici, et on s’est décidé à venir l’essayer.» Son frère Tom n’attend pas avant de poursuivre sur le coup de l’émotion: «C’est vraiment fou! On a l’impression qu’on skie directement dans le fleuve, la montagne est grosse et les conditions de neige sont superbes.»

    Ils ont adopté le Massif

    Pour Janette et son fils Joey, le fait de skier au Massif de Charlevoix durant le Spring break est devenu une expérience à répéter, eux qui en sont à leur quatrième visite.

    «Le Massif est notre meilleure destination de ski à partir d’Ottawa! On revient ici parce que ce n’est pas trop achalandé, il y a beaucoup de neige et peu de glace dans les pistes. Il y a des beaux sous-bois et des pistes à bosses répartis partout sur la montagne. En plus, les Québécois sont super sympathiques, l’ambiance est vraiment chaleureuse même en hiver», exprime Janette, sourire en coin.

    Impatient de commenter dès que sa mère termine son dernier mot, Joey lance: «C’est différent par rapport à une montagne normale, parce qu’en arrivant au sommet, on descend tout de suite avant même de monter. Et en plus, chaque descente donne un point de vue différent sur le fleuve, c’est fou comment c’est beau!»

    Ici pour le ski et l’ambiance charlevoisienne

    Le panorama est évidemment évoqué par toutes les personnes rencontrées, et c’est d’ailleurs la première chose que Marketa et Jaqueline, belle-mère et belle-fille, soulignent lorsqu’on leur demande qu’est-ce qu’elles apprécient du Massif de Charlevoix. «C’est particulier que la meilleure vue soit quand on descend… Dans les Alpes, c’est quand on monte dans le télésiège qu’on peut contempler la beauté des montagnes. Ici, c’est quand on descend que la vue est impressionnante», avance Marketa, une femme d’origine tchèque qui vit maintenant à Ottawa avec sa famille.

    Il est vrai qu’en tant que skieurs québécois, qui avons vu et revu les points de vue du Massif de Charlevoix en images ou en skiant sur place, les fameuses descentes vers le fleuve sont devenues presqu’un acquis de notre imaginaire collectif. Mais dans les yeux de personnes qui viennent d’une autre province, cela est devenu un des aspects majeurs de l’expérience de glisse, ou à tout le moins une forte motivation pour faire la route jusqu’ici.

    D’ailleurs, Jaqueline, qui en est à sa première visite, renchérit: «La vue est incroyable! Et j’aime beaucoup la diversité des pistes et la façon dont la montagne est configurée, ce qui nous permet de combiner des bosses, du damé et du sous-bois dans une même descente.»

    Mais il y plus que la vue et la qualité du ski; il y a cette ambiance qui fait du Québec, et plus particulièrement la région de Charlevoix, un endroit distinct. Et c’est peut-être aussi ce qui en fait une destination de plus en plus prisée des Ontariens. C’est Marketa qui a mis le doigt dessus: «L’atmosphère de la région Charlevoix est particulière. Les gens sont accueillants et sympathiques, toujours prêts à nous accueillir à bras ouverts. Il y a aussi cette vision très locale dans l’approche touristique, par exemple quant aux produits qu’on retrouve dans les restaurants, qui nous permet de goûter les saveurs de la région, comme les fromages de Charlevoix. Et sans oublier les bières de microbrasserie, qui sont excellentes!»

    Et de fait, après une journée de ski au Massif de Charlevoix à enligner les descentes en contemplant le fleuve, quoi de mieux qu’une bonne bière au bar du sommet, Le Grand Duc, avant d’aller terminer la soirée dans un bon resto de Baie-Saint-Paul!

    Défi Alpine et poudreuse: Programme double à Owl’s Head

    Statistiquement, il est peu probable que l’hiver 2021-22 enregistre des records de chutes de neiges ou de stabilité de température pour les Cantons de l’Est… Beaucoup de pluie, peu de neige et un mois de janvier particulièrement froid. Heureusement, vers la mi-mars, il est fréquent d’avoir des tempêtes spectaculaires. C’était le cas le 12 mars dernier: l’hiver n’avait pas dit son dernier mot, quel ne fut pas notre bonheur de voir la bonne bordée se joindre à la fête, juste à temps pour la première édition du Défi Alpine pour la Fondation des étoiles. Récapitulatif d’une journée bien chargée au lac Memphrémagog.

    Au matin de l’événement, on ne s’est pas pressés pour arriver à la montagne, de crainte d’être déçus, mais à mesure que la journée avançait, les conditions s’amélioraient et à partir de midi, c’était le blizzard total. Plusieurs centimètres s’accumulaient d’heure en heure et les flocons recouvraient rapidement les traces des descentes précédentes.

    En deuxième partie de la journée, l’événement organisé par la Fondation des Étoiles, le Défi Alpine, commençait à s’organiser. Bien qu’ils n’en n’étaient qu’à leur première édition, je salue la Fondation pour leur professionnalisme et la bonne gestion, car malgré le plaisir des belles conditions sur les pistes, c’est une autre histoire lorsqu’on organise un événement extérieur en plein blizzard.

    Vers 16h45, les premiers départs sont lancés et on commence à monter en vagues. Certains font le défi en équipe, d’autres individuellement. Pour ma part j’ai choisi de créer une équipe avec trois amis pour amasser des fonds et participer au défi. Au départ, j’étais content de constater que l’ascension allait s’effectuer par la Lilly’s Leap, aménagée pour monter comme descendre avec des voyants lumineux pour séparer le côté de montée du côté de descente. Beaucoup plus sécuritaire et efficace que de monter à la queue-leu-leu dans le bois, à la lumière d’une simple lampe frontale! La neige continuait de tomber, on aurait dit même plus fort que pendant la journée, à mesure que la lumière baissait, nous offrant une piste de descente absolument magnifique et de la poudreuse de surface à profusion. Quoi demander de mieux!

    J’ai poussé pas mal sur la première montée: le rythme était plutôt rapide et certains participants y allaient vraiment pour la gloire car, après tout, les montées étaient chronométrées, et moins de 30 minutes plus tard, nous étions arrivés en haut. Une première de faite. Vite, on enlève les peaux d’ascension, on passe en mode ski, pas trop le temps de s’éterniser dans l’aire de transition.

    Deux descentes étaient assez pour moi, j’ai décidé d’aller me changer et de profiter de la soirée. Avec les platines gérées par @Pasderoche pour réchauffer la piste de danse, tout le reste de la soirée s’est déroulé rondement, avec des équipes qui se relayaient pour la montée, et l’ambiance au bas de la montagne et dans le chalet.

    Les montées et les descentes se sont poursuivies jusqu’à environ 20:00, décalant même un peu plus tard pour permettre aux derniers courageux de se rendre au pied de la montagne: je lève mon chapeau bien haut aux valeureux skieurs qui ont fait le le défi en solo et qui ont monté quatre, voire même cinq fois la montagne en seulement quelques heures. Wow! De vraies machines.

    La musique et l’organisation à la base de la montagne étaient, encore une fois, absolument remarquables et les courageux comme nous qui sommes restés dehors toute la soirée étions bien reçus avec du chocolat chaud, de la bière et de la bonne musique. Le moment tant attendu est arrivé, on parle des chiffres bien évidemment. C’est 147 000$ que le Défi Alpine a permis de ramasser pour la fondation, plus du double de l’objectif de 70 000$ qu’ils s’étaient originalement fixé.

    Je souhaite sincèrement à la Fondation et pour nous, qu’une récidive de cet événement aie lieu l’an prochain, autant pour son succès tant au niveau des dons que pour l’événement en général. C’étaient des conditions loin d’être optimales pour la tenue d’un tel événement mais ils ont su nous montrer leur professionnalisme et jumeler bonne cause et plaisir. Longue vie aux défis de randonnée alpine pour le futur!

    Sortir de sa zone de confort au Valinouët!

    Le dépassement de soi

    Avoir confiance en soi pendant notre sport est une bonne chose. Lors de ma sortie, j’ai rencontré un de mes collègues à ZoneSki qui était aussi accompagné d’un ami. Je leur ai parlé de l’existence des griffes dans le versant Nord-Ouest. Je leur ai mentionné que je ne me pensais pas assez experte pour me lancer dans cette découverte. Je voulais seulement leur montrer par où passer pour s’y rendre… Durant la montée en télésiège, je me suis laissée convaincre, quand même assez facilement, il faut croire! Et quelques minutes plus tard… Nous étions en train de monter dans la montagne pour se rendre dans «Les Griffes »! Une fois rendue à la section contenant le « cliff », je me suis dit qu’est-ce que je fais ici? Le stress montait en moi et je me demandais si j’allais être à la hauteur. Même si la plupart des falaises que j’ai passées durant cette journée ont fini sur les fesses, j’ai adoré sortir de ma zone de confort et découvrir des nouveaux coins dans la station Le Valinouët.

    La machette, une découverte

    Depuis quelques années, je voulais explorer le sous-bois « La Machette » mais les avertissements à l’entrée de celui-ci ne me donnaient pas confiance. Le sous-bois contient des sections de falaises impossibles à contourner, il faut donc avoir des compétences expertes pour se lancer dans cette piste. Je n’arrivais pas à savoir si j’étais apte à y aller. Étant donné que je fais toujours de la planche à neige en solo, je n’osais pas du tout. Mais cette fois-ci, j’étais accompagnée, ce qui m’a donné le courage de foncer droit vers le sous-bois pour enfin l’explorer!

    Succès pour le Défi ski Leucan

    Le défi se déroulait au Valinouët le samedi 12 mars. En après-midi, d’après les organisateurs, au moins 100 000 $ avaient été amassés. On pouvait voir des skieurs et planchistes avec des dossards à l’effigie de Leucan. Beaucoup d’équipes portaient un vêtement semblable pour se démarquer du lot. Le défi consiste à faire au moins une descente à l’heure en soutien aux enfants malades. Pour participer, il suffisait de former une équipe de 1 à 4 participants et d’amasser un minimum de 500 $ pour la cause.

    Bromont annonce une nouvelle remontée mécanique sur le versant des Épinettes

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    Bromont, lundi 7 mars 2022 – Bromont, montagne d’expériences (BME) vient tout juste d’annoncer un investissement supplémentaire de 10,2 M$ afin de poursuivre le développement du Versant des Épinettes. Madame Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation, ministre responsable de la Condition féminine et députée de Brome-Missisquoi et monsieur Patrick Guilbault, directeur régional principal, Rive-Sud et Montérégie d’Investissement Québec étaient présents pour l’occasion.

    Grâce à l’appui du gouvernement du Québec qui se décline en une contribution financière non remboursable de 2 M$ et d’un prêt adapté au milieu touristique de 4 M$, la montagne bonifiera l’expérience des skieurs en réalisant des améliorations importantes, dont le remplacement de la remontée mécanique qui assurera une fluidité des amateurs de ski sur tous les versants.

    « L’appui financier du gouvernement du Québec à notre projet fera toute la différence pour notre montagne, souligne Charles Désourdy, président de Bromont, montagne d’expériences. Ces investissements contribueront définitivement à enrichir l’expérience de tous les skieurs. Avec une meilleure capacité de remontée, nous sommes convaincus que les gens skieront encore plus et surtout, qu’ils profiteront de tous les versants. »

    Réalisés dans le cadre du Projet Altitude, ces nouveaux investissements totalisent maintenant 111 M$.

    Faits saillants

    Ce projet prévoit notamment l’installation sur le Versant des Épinettes :

    • d’une nouvelle remontée mécanique débrayable haute vitesse permettant de réduire le temps de remontée et de presque doubler la capacité de remontée;
    • de tuyaux d’enneigement afin d’offrir de meilleures conditions de glisse dans la Ottawa;
    • d’un système d’éclairage dans la Petawawa et la Ottawa;
    • les travaux seront complétés pour le début de la saison ski 2023-24.

    Owl’s Head : l’évasion en Estrie

    Viens jouer ailleurs : c’est le branding de la station de ski Owl’s Head, dans les Cantons-de-l’Est. Et être ailleurs prend tout son sens sur cette montagne un peu à l’écart. De fait, la majorité des skieurs venant des grands centres urbains s’arrêtent à d’autres stations, plus accessibles géographiquement, en bordure de la fameuse autoroute 10. Mais ceux qui décident de pousser un peu plus loin leur exploration de l’Estrie se ravissent à la vue du grand pic montagneux qui s’élève devant leurs yeux sur la route à l’approche de la station : c’est haut, c’est incliné et c’est impressionnant. L’évasion commence ici.

    Des améliorations qui portent fruit

    Depuis quelques années, Owl’s Head multiplie les améliorations pour agrémenter l’expérience des skieurs : remplacement de la vielle chaise du Lac par un quadruple fixe, achat de nouvelles dameuses pour améliorer la qualité de la glisse, mise à niveau du système d’enneigement mécanique, implantation de la technologie RFID (Radio Frequency Identification) aux télésièges, développement immobilier sur la montagne offrant une multitude de chalets et condos en ski-in/ski-out, et pour l’hiver 2021-2022, aménagement de trois parcs à neige, dont un long et beau dans les pistes Cindy’s Slip et Panorama, nommé JCT 16-18, qui inclut également un parcours de boarder cross.

    Cet investissement majeur permettra très certainement d’aller chercher une clientèle plus jeune et plus familiale qui voudra s’évader des endroits plus achalandés.

    Pour les amateurs de pistes damées

    Parmi les investissements majeurs des dernières années mentionnés plus haut, il y a le système d’enneigement mécanique et les nouvelles dameuses. Pour une montagne qui se démarque par ses pistes damées inclinées, ce n’est pas un luxe. Je me rappelle avoir skié Owl’s Head à l’époque sur des pistes glacées et grattées, et je dois avouer que c’était une raison qui me poussait à choisir une autre destination. Mais cette réalité est maintenant chose du passé!

    Malgré les aléas climatiques, les conditions de glisse sont généralement impeccables, avec très peu de glace, même dans les pistes les plus inclinées : la Kamikaze et la Colorado.

    D’ailleurs, malgré le fait qu’Owl’s Head propose quelques sous-bois et pistes à bosses intéressants, c’est vraiment lorsque le goût me prend de m’évader sur des pistes damées que je visite la station. Le défi y est et la pente est constante!

    La montagne étant divisée en deux parties avec le chalet au milieu, le haut desservi par le télésiège débrayable du sommet et le bas par deux télésièges (Panorama et du Lac), il est particulièrement plaisant de combiner les pistes pour en arriver à skier le dénivelé de 540 mètres au complet. Par exemple, la combinaison entre la Lily’s Leap (qui se prend au sommet) et la Lake View (qui débute en haut de la chaise du Lac) permet une longue descente sinueuse, ludique, avec plusieurs cassures. Également, la combinaison de la Colorado (qui part du sommet) avec la Chouette et la Nice and Easy (accessibles à partir du télésiège Panorama) nous lance dans une descente inclinée à souhait avant de se terminer sur une longue pente douce permettant de grands virages relaxes en carving.

    Venir ici pour les pistes damées n’empêche toutefois pas d’aller jouer dans les pistes à bosses et les sous-bois.

    Par contre, lors de mon passage à la station le 4 mars 2022, la mince couverture de neige ne permettait pas de profiter à plein de ces options, qui demandent d’ailleurs de bonnes accumulations étant donné la présence insistante de roches et de souches.

    S’évader des foules

    Malgré tous les investissements, on a encore l’impression qu’Owl’s Head est méconnue. De façon générale, l’attente aux remontées mécaniques est minimale; en fait, le seul télésiège où l’on peut attendre un peu est celui qui mène au sommet, et règle générale cela ne dépasse pas cinq minutes.

    La station est donc une bonne option pour aller jouer loin de foules, et c’est tant mieux. Il faut néanmoins souligner qu’à mon sens, il ne serait pas souhaitable que la station accueille un nombre démesuré de skieurs, comme on peut le voir ailleurs. La raison étant que la capacité de remontée élevée versus le nombre de pistes disponibles résulterait en une densité de skieurs considérable dans les descentes, et dès lors il deviendrait plus difficile de se laisser aller à bon train.

    Dans tous les cas, l’enjeu se présente rarement. Probablement parce que les gens ne viennent pas encore jouer ailleurs 😉. Profitez-en pour venir vous évader!

    Stoneham, un retour amical!

    Lorsqu’on a l’habitude de sortir solo en station, une sortie comme celle-ci est tout aussi plaisante que de tomber sur une journée de poudreuse. Cette fois, j’étais accompagnée d’un ami de Lévis qui n’avait fait que des petites stations dans les dernières années pour initier ses enfants aux sports de glisse. Ma dernière sortie en sa compagnie date d’au moins quatre ans, c’est donc dire qu’il était prêt pour une plus grosse montagne! Allons-y pour un retour en force dans la station touristique de Stoneham.

    Les années passent… et la sécurité change!

    Lorsque l’on sortait à ski pendant les années 2000 le casque n’était pas du tout à la mode. Celui qui portait un casque était « le bizarre » de la station. Mais quand mon ami est arrivé à la montagne, il a constaté que c’était lui qui clochait dans le décor. De quoi se sentir mal à l’aise devant cette foule, maintenant, presque tout le monde porte un casque pour skier. Il a aussi réalisé qu’il avait oublié ses bâtons de ski à la maison, on alors en a profité pour faire une une petite escapade dans la boutique Sports Alpins, d’où mon ami est sorti avec un casque neuf et des bâtons!

    Vous pouvez justement participer au concours sur la sécurité mise en place par l’Association des stations de ski du Québec en cliquant sur le lien suivant : https://maneige.ski/quiz-securite-2021-2022

    Sous-bois parfaits pour se dérouiller

    Au fil des descentes, mon ami se sentait de plus en confiance avec son sport. En passant devant le petit sous-bois aménagé pour les jeunes, nous avons décidé de bifurquer dedans pour se dégourdir des pistes damées et lui redonner le goût à la forêt. « La Casimir » spécialement aménagée pour l’apprentissage des tout-petits: grâce à une inclinaison très faible, la descente lente permet d’être en contrôle total avec les bosses et les arbres pour prendre de l’assurance. Par la suite, nous avons continué dans le sous-bois « La biche » qui est un peu plus incliné que le précédent. Cette trajectoire était assez parfaite dans notre journée pour la refaire deux fois.

    Vers la mi-montagne

    Toutes les fois où je vais à station touristique de Stoneham, on dirait que je boude les pentes situées du côté de la remontée « L’Alizé » qui nous transporte à mi-montagne. Non pas parce que je n’aime pas ces pistes, mais surtout parce que je pense jamais à aller de ce côté. « Le nid du hibou » est une pente qui n’est pas travaillée mécaniquement et qui nous permet de rejoindre les pistes mi-montagne à partir du sommet. Celle-ci était beaucoup moins skiée que les autres et ça se voyait par sa qualité de surface.

    Les 40, l’échappatoire

    Il se peut que durant la fin de semaine, lors d’une journée achalandée, le télésiège des bulles « La Tempête Express » se remplisse. Le truc pour continuer d’optimiser votre temps est de vous échapper vers le versant des 40. Bien entendu, ce ne sont pas tous les skieurs et planchistes qui seront à l’aise avec les pistes, car la plupart sont de niveau expert et difficile. Mon ami m’a fait remarquer un fait cocasse sur ce versant, quand nous arrivons de Québec sur la route, face aux pentes, on peut lire le mot ski par le dessin que forment les pistes du versant des 40.

    Ce fût un plaisir de participer au retour en piste de mon ami et d’embellir sa première journée de vacances pour la semaine de relâche de ses enfants. Bon ski à tous!

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